♦ no one is going to save you. NOM ; une grande renommée est attachée à ce nom. Tout le monde connaît les Càrpenter. La famille du jeune garçon est une grande famille de sang pur (mais ternie parfois par des touches de sang impur là et là). Càllistô pour sa part n'y attache qu'une importance minime, même s'il est bien fier d'être un Càrpenter... PRÉNOM(S) ; le premier choix fut tout de suite Càllistô. Dans la mythologie grecque c'est un prénom féminin mais qui sait pourquoi ses parents ont trouvés qu'il lui irait bien. Après celui-ci, et comme sa mère était une grande admiratrice de certains sorciers du monde perdu, ses parents choisirent deux autres prénom, que Càllistô seul connaît. Piotr, en référence à un musicien russe moldu et Zeddicus, qui vient très certainement de l'imagination de son père... NATIONALITÉ ; sa mère est française, russe et hongroise et son père est italien, allemand et anglais. Autant dire qu'en bon langage, la nationalité de Càllistô serait une nationalité franco-russo-hongro-italiano-allemano-anglais. En gros, tellement de nationalités que c'est indéfinissable. On dira à juste titre qu'il est un mélange de cultures et de peuples sorciers. AGE ; le jeune homme, pas peu fier d'avoir atteint la majorité sorcière, a désormais fêté son dix-neuvième anniversaire. Il est enfin libéré de la Trace et de toutes ces "conneries", selon lui. ANNÉE D'ÉTUDE; votre sens des mathématiques et du calcul est à faire peur. Si on compte bien, et si on sait compter évidemment, 19 ans = cinquième année. Donc. Càllistô est en cinquième année. PURETÉ DU SANG ; ah la question fatidique. Il y a un débat à propos de cela d'ailleurs. Certains disent la famille pure, d'autres non. Mais étant donné que le dernier sang moldu de la famille remonte à un siècle, nous pouvons affirmer que la famille est pure. La pureté est donc totale. ORIENTATION SEXUELLE ; indécis. Mais tout de même bisexuel. Il aime faire des expériences, tout sexes confondus. BAGUETTE ; Bois de hêtre, 25,5 centimètres, très difficile à manier, idéale pour la magie noire et les sortilèges d'attraction ou de confusion, plume de phénix. Une très belle baguette, qui fait la fierté de son possesseur. NIVEAU SCOLAIRE ; dans la moyenne. Bien qu'il surpasse la plupart des gens. DONS ; phénix. animagus non-déclaré. PREFERENCE ;magie noire, avec une tendance à la magie blanche, parfois. ÉPOUVANTARD ; bois de hêtre, 25,5 centimètres, très difficile à manier, idéale pour la magie noire et les sortilèges d'attraction ou de confusion, plume de phénix. Une très belle baguette, qui fait la fierté de son possesseur. PATRONUS ; un chien à trois têtes, grand et poilu, menacant. SUPPLÉMENT ; enflure de première catégorie.

♦ say who you are, not who you wanna be.


PSEUDO ; vinke ;; devil.ck
AGE ; l'âge de la raison et de l'innocence.
CÉLÉBRITÉ ; mitch h.
CODE DU RÈGLEMENT ;

Spoiler:

PRÉSENCE ; tout le temps =D
COMMENTAIRE ? I <3 U (aa)

« Nous vivons tous pour mourir. A quoi bon gâcher sa vie, à chercher un boulot, une famille et à faire des gosses. Éclatons-nous ! » Cette phrase, il s'en souvenait encore. Il l'avait prononcé. Lui. Cet homme, désormais poussière, mais toujours vivant dans son cœur. Un joint dans la bouche, Càllistô se rappelait. Souvenirs, souvenirs. Il se rappelait. Son souffle dans son cou. Ses lèvres, chaudes, sur les siennes, à lui. Lui, déposant un baiser sur sa joue droite. Ces moments où ils étaient seuls, le danger les emportant là où personne n’irait. Ces rendez-vous secrets. Ces caresses, ces plaisirs interdits, ces violentes douceurs, ces tout crées de rien et cette relation si chaotique. Jamais il n’avait ressenti ça pour personne. Jamais. Son cœur se déchirait à chacune de leurs rencontres. Il explosait. Il aimait se retrouver en sa présence. Son doux parfum, ses mains d’un toucher incomparable. Pourquoi l’avoir laissé, là ? Après tout leurs rendez-vous, après leur histoire d’un amour destructeur. Pourquoi ? Pourquoi avoir laissé sa carcasse, pourquoi ? Aucune réponse à cette question, énigmatique. Il voulait savoir pourquoi. Pourquoi il était parti, pourquoi cette enflure lui avait pris sa vie ? Pourquoi avait-il fallu que ça leur arrive à eux ? Tant de question, commençant par pourquoi, sans réponses et qui fourmillaient dans sa tête. Désormais il était seul, sans personne pour lui dire que faire. Que faire de sa vie, de ses sentiments, de ses attitudes, de ses envies. Il n’avait plus personne à qui dire ce qu’il ressentait, comment il se sentait piégé, par ce monde, horriblement morne.
Jamais il ne pourrait l’oublier. Jamais. Ces deux ans. Ces deux ans avaient été magiques, époustouflants. Jamais il n’oublierais ces moments…

MAIS ARRÊTE MERDE ! RESSAISIS-TOI CÀLLISTÔ ! Le jeune homme regarda par le fenêtre, un instant de plus, puis détourna son regard. Quelqu'un entrait. Pourquoi donc dès qu'il devait être seul, devait-il y avoir une emmerdeur de première pour venir l'emmerder ? Pourquoi était-ce si dur de pouvoir rester seul trois minutes, sans que quelqu'un ne vienne le déranger ? Peu lui importait. Il ne resterais pas. Qui que cela soit, le jeune homme sortirait, d'ici une minute, top chrono. Càllistô se releva, il fouilla en dessous de son lit, pris une de ses bouteilles de whisky pur feu, ramenée en douce depuis le début de l'année, une bloc-note, un crayon, son paquet de clope, et partit. Seul un vulgaire gamin de quinze années s'apprêtait à entrer visiblement, mais peu importe. Il préférait être seul. Totalement seul. Sa destination , La cabane Hurlante. Un repère pour lui en réalité. Un véritable repère. Il aimait y aller, boire un coup, fumer un ou deux joints et écrire. C'était ça. Il aimait écrire. Ou dessiner. Et des fois ses écrits étaient accompagnés de dessins. Jamais il ne partait sans son bloc-notes, son ultime objet. S'il avait le malheure de l'oublier, il retournait le chercher, quittes à arriver en retard, il s'en contre-foutait. De plus, la peur que quelqu'un lise ses écrits lui donnait la nausée. Jamais il ne voudrais que cela soit découvert. Jamais. Il préfèrerait se damner que de montrer ses écrits. Même ceux qui avaient le droit de connaître presque tout de sa vie n'avaient le droit de connaitre ce bloc. Il y fourrait tout ce qu'il y avait d'important. Personne, à sa connaissance, n'avait eu vent de ce "cahier", et c'était bien mieux comme ça.

Quand Càllistô, une mèche pendouillant sur son visage, arriva dans l'ultime pièce de la cabane hurlante, un vent frais vint se déposer sur sa nuque et lui enrouler le visage. Il aimait cette sensation de bien-être que lui procurait le vent. Il aimait ça plus que tout autre chose. C'était d'ailleurs la première chose qu'il aimait en sortant dehors : la légère (et pour certaines fois, moins légère) brise de vent du matin, de l'après-midi ou du soir. La cabane, elle, était dans un piteux état. Pas de quoi être fier. Même si l'état du cabanon était pittoresque, il y résider tout de même un certain charme. On se sentait à l'écart de tout, quand on était là dedans. Lui en tout cas le ressentait. Personne. Pour être à l'écart c'était idéal. Idéal. Il aimait rester là, des heures, à dessiner ou écrire en buvant et fumant c'était reposant. Très reposant. Depuis SA mort, c'était encore plus fréquent. Bien plus fréquent. Il venait environ deux à trois fois par semaines ici. Il écrivait, il écrivait ce qu'il ressentait...

KEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEV
bienvenue sur requiem.
je te réserve mitch le prépubère tout de suite (aa)
bonne chance pour la suite de ta fiche