« Mademoiselle Jones !! Revenez ! Mademoiselle Jones ! »

La vieille Miss Andrews s'acharnait a vouloir rattraper la petite fille de sept ans qui se jouait d'elle, en courant partout dans l'école privée. Ses petites chaussures vernis frappant le sol a un rythme soutenu. Elle ne voulait pas aller a la messe. Quelle horreur. Pourquoi ferait-elle cela pour faire plaisir a des moldus ?! Certes, elle même avait de ce sang dans les veines, sa mère ayant deux parents moldus, mais ses deux parents étaient sorciers ! Diantre ! Pourquoi l'avaient-ils envoyée là ?Courant plus vite dans le couloir vide, après tout, tous les élèves étaient en route pour la chapelle, elle accéléra légèrement l'allure, ses bras se balançant plus vite, et sa chevelure brune flottant derrière elle.
Et la vieille Andrews peinait pour la suivre, elle aurait dût arrêter la cigarette, mais elle avait déjà des kilos en trop et si jamais elle arrêtait...Mais au moins elle aurait pu courser cette petite peste de Jones ! Cette petite est possédée par le démon ! Possédée !


« Mademoiselle Jones revenez ! Je vais faire un mot a vos parents je vous préviens ! »

En entendant cette phrase on ne peut plus stupide, la jeune fille ne pu s'empêcher de rire. Grand bien lui fasse ! Quelle la dénonce, si ça pouvait lui faire plaisir a cette vieille sang-sue...Surtout qu'elle apercevait déjà la porte du réfectoire. Bientôt la liberté ! Une porte de secours était présente au fond de la grande salle où s'alignaient des tables aussi vieilles que ses grands parents, porte qui donnait droit sur le parc de l'école, lequel donnait sur la rue. Une fois libre, elle pourrait rejoindre Louis, et passer une heure tranquille avant d'affronter son institutrice et les maths. Mais elle se fichait pas mal de ce que pourrait bien lui dire cette vieille bique ! Louis l'attendait, il lui avait promis, et s'il n'était pas là; elle le traiterait de cracmol pendant un mois entier et mettrait des orties dans son lit ! Non mais, elle n'allait pas laisser son cousin, qui avait tout juste une semaine de plus qu'elle, lui dicter sa loi. Après tout, c'était elle qui gagnait tout le temps, elle était la maîtresse, et lui l'esclave, et il avait plutôt intérêt a obéir par Merlin !Ouvrant la large porte de bois à la volée, elle pénétra dans le réfectoire avant de poursuivre sa course effrénée pour la liberté. Longeant les tables vides, elle la voyait s'approcher, elle était tellement proche, et Andrews ne pourrait plus la rattraper, c'était trop tard. Déjà elle tendait la main pour se saisir de la poignée. Une mine triomphale vint alors s'installer sur son visage de poupon. Elle avait réussit ! Elle allait pouvoir sortir et voir Louis ! Et nul ne pourrait l'en empêcher ! Victoire ! La petite fille qu'elle était ouvrit alors la porte, alors que la surveillante entrait a peine dans la salle. Et elle allait mettre son petit pied dehors, lorsqu'elle tomba nez a nez avec un homme grand, au costume gris, et aux cheveux de la même couleur horrible. Il posa sur elle un regard sévère, fronçant les sourcils.

« Vous allez quelque part Miss Jones ? »

Une moue boudeuse prit rapidement place sur les lèvres de la petite fille. Croisant les bras sur sa poitrine, elle fronça les sourcils. Vieil épouvantail, comment osait-il se mettre au travers de son chemin à elle ! Essoufflée, la vieille Andrews arriva enfin a leur hauteur, pliée en deux et le souffle court, ses mains appuyée sur ses genoux.

« Mr...Mr le...Mr le directeur... »

Mr le dictateur ouais tu veux dire...Pensa le petite fille. Elle allait avoir des ennuis, elle le savait, mais s'en fichait pas mal. Elle ne serait pas renvoyée, ses parents payaient assez chers ses moldus stupides, et après tout, sa mère était de sang bleu, on passait donc généralement les excentricités de leur progéniture, mais ce n'était pas le directeur ou les surveillantes, toutes des vieilles filles selon Arté, qu'elle craignait, Ô non...


Elle fut punie pendant deux semaines, interdiction formelle de rendre visite a son cousin. Les deux petits sorciers ne purent donc se rendre visite pendant tout ce temps. La vie se résumait a ceci : École, devoirs, repas, sommeil. Pendant deux semaines, elle n'eut de contact qu'avec des moldus, en dehors de ses parents. Et cela exaspérait la demoiselle. Après tout, elle, elle irait a Poudlard, elle apprendrait la magie. A la maison, ils avaient une dizaine d'elfes tandis que tous ses petits camarades ignoraient même jusqu'à l'existence du monde des sorciers. Bande d'idiots ! Et elle avait beau lancer ses peluches dans sa chambre, taper du pied, crier, ses parents ne cédèrent pas. Elle devait être une petite fille normale ou presque, apprendre à respecter ceux qui ne pouvaient faire de la magie, a les comprendre. Foutaise ! Se gênent-ils, eux, pour se moquer d'elle et de ses airs supérieurs ? Non, et pourtant, son grand père est duc chez eux ! Et non, ils rient d'elle et de son air innocent, gentil. Ils rient d'elle parce qu'elle croit à la magie...Elle avait donc décidé avec Louis de les mépriser, car on ne se moque pas d'elle sans s'en mordre les doigts. Elle resta donc cloîtrée chez elle et a l'école, fulminant intérieurement contre cette école stupide, ce type et cette vieille folle...Stupides !
Elle ne pu revoir Louis qu'un mois plus tard qui plus est, a un dîner de famille chez ses grands parents paternels. Dès qu'elle le vit, ils s'éclipsèrent dans la cuisine, cachés sous la table en forniqua.

« Tu n'es pas venue Arté... » Le petit garçon à la frimousse blonde la regardait d'un air accusateur. Il l'avait attendu pendant une heure et demie, dehors, accompagné de sa nounou. De plus, il avait finit par pleuvoir, chose peu étonnante a Londres diraient certains. En plus, il n'avait pas pu revoir sa cousine pendant un mois, et ses parents a lui aussi l'avaient grondés !
« C'est pas de ma faute Lou !! Je te jure ! C'est ce vieux moldu grincheux qui m'a dénoncée ! Il m'a trouvée alors que je sortais du réfectoire ! » La petite fille renifla dédaigneusement. L'épouvantail le lui paierait cher !
« Ouais...Mais mes parents m'ont bien disputés tu sais...J'ai été puni et.. »
« Et moi alors ? Aucun contact avec des sorciers pendant deux semaines ! Maison et école pendant DEUX SEMAINES ! »
« Oui mais tu t'es faite prendre, c'est ta faute, moi tu dois me dédommager ! »
« Te...Te quoi ? »
« Me dédommager ! Papa dis toujours ça aux adversaires de ses clients ! Ça veut dire que tu dois me donner quelque chose parce que j'ai souffert a cause de toi. » Le père de Louis était en effet avocat, profession qui aidera le jeune homme bien des fois pour faire chanter ses camarades.
« Mais...C'est n'importe quoi ! » S'indigna la petite fille. Elle était la maîtresse, et il était donc normal qu'il souffre a cause d'elle non ? Et puis, elle n'avait que sept ans, que pouvait-elle lui donner ? A part sa liberté bien sûr, mais il était inconcevable qu'elle lui rende sa liberté.
« Bin non, c'est normal ! J'aurais pu être très malade en plus de m'être fait disputé ! »
« Mais tu veux quoi ? Mes poupées ? Mon lapinou rose ? » La voix de la jeune fille avait déjà trouvé cette intonation si sarcastique qui la caractérise encore aujourd'hui lorsqu'elle se moque de quelqu'un. Elle s'était appuyée contre un pied en métal de la table, croisant ses petits bras blancs contre son torse avant de lever les yeux au ciel.
« Des poupées ? Ça va pas la tête ?! Je suis pas une fille... » S'emporta le petit garçon, ses yeux bleus verts, l'exact réplique de ceux d'Arté, se fixant sur le visage de sa cousine, qui lui répondit calmement.
« Ça je le sais Lou...Tu veux quoi ? »

Le petit garçon réfléchit quelque secondes, se caressant le menton pour se donner un air important.

« Tu peux arrêter de me traiter comme ton esclave ? »
« Non, ceci n'est pas négociable. Je suis juste meilleure et plus forte que toi, on peut pas changer ça. »
« Bon... » Un léger sourire en coin se dessina sur les lèvres du jeune garçon.  « Tu me laisses pas le choix hein...Un bisou ? »
La petite fille haussa les sourcils. Mais qu'est ce qu'il voulait …?!
« Quel genre …? »
« Bin, un bisou de grand ! » Répondit Louis, se demandant si sa cousine, n'était pas tout compte fait, demeurée.
« Beurk ! Mais...Mais c'est sale ! » Une grimace déformant son visage, elle tira la langue comme si elle allait vomir.
« C'est soit le bisou Arté, sois tu m'épouse quand on sera grands ! »
Soupirant, la jeune fille opta pour le bisou.

Elle s'approcha doucement de son cousin, maladroite, et ne sachant pas comment faire. Certes, elle avait déjà vu ses parents s'embrasser, mais elle détournait vite les regard avec un « beurk » dégoûté. Son cousin s'approcha également d'elle, posant ses mains sur les épaules frêles d'Arté, fermant tout deux les yeux, leur visage s'approchèrent doucement, tandis que Artemis fronçait les sourcils a cause de l'appréhension. Tous deux les lèvres en avant, ils échangèrent leur premier baiser, sous la table de leur grand mère, a l'âge de sept ans. Quel souvenir en gardent-ils ? De quelque chose d'un peu embarrassant et de drôle a la fois.



Quant a sa vengeance sur l'épouvantail et la vieille Andrews ? Elle pu l'assouvir, n'ayez crainte. Elle du par contre attendre un peu. Mais cela ne l'empêcha pas de tout faire pour les rendre fous. Mais le dernier jour dans cette école de fou, avant qu'elle ne parte pour le collège qui précéderait Poudlard, elle mit une bonne dose d'orties dans le sac de Miss Andrews. Ses deux mains furent brûlées, et elle ne put s'en servir pendant trois jours. L'épouvantail, cet affreux personnage qui l'avait empêché de voir Lou pendant un mois, sa voiture eut tous ses pneus crevés, et sa carrosserie rayée de part en part, sans oublié les tags insultants, que toute les élèves s'étaient amusés a faire.

Le collège qui suivit permit aux deux cousins de se rapprocher encore, vu qu'ils étaient dans le même établissement. Ils passaient tout leur temps ensemble, a la récréation, ils restaient assis près d'un arbre, a discuter en se donnant la main. Ces deux étranges cousins n'étaient par ailleurs pas très bien intégrés, devenant parfois la tête de turc de tel ou tel groupe. Mais ils se défendaient l'un l'autre, et au bout d'un moment, leurs bizarreries n'attirèrent plus personne. Arté ne voulait pas se mélanger avec les moldus. Ils s'étaient toujours moqués d'elle, et elle ne voyait pas pourquoi cela changerait. La dernière année de collège pour nos deux héros étaient pleine de promesses, ne se quittant jamais, ce fut, tel Paul et Virginie, qu'ils vécurent leurs premiers émois amoureux, dans le grenier de notre Paul.
En effet, ils passaient leurs vacances dans ce grenier, a jouer, a discuter. C'est dans cette endroit poussiéreux, où personne ne venait, qu'ils échangèrent leur premier « french kiss » comme on dit, là, qu'ils échangèrent leurs premières caresses, sans pour autant pousser le vice. Arté refusait obstinément de se donner a son cousin. La plupart du temps, elle restait allongée dans ses bras alors qu'il caressait ses cheveux, regardant les toiles d'araignées luirent dans la lumière du soleil.
Et son refus n'était pas du a la pudeur, non, car une fois, les choses faillirent déraper. Ils avaient commencé par jouer, comme a leur habitude, et poussés par la curiosité de jeunes adolescents, ils voulurent savoir quoi ressemblait l'autre. Ils se dévêtirent donc, observant l'autre comme un scientifique observe un insecte, et cela leur donna quelques idées... Louis s'approcha du corps blanc de sa cousine, et allait la toucher lorsqu'elle lui frappa la main. Ce n'est pas qu'elle n'avait pas envie qu'on la touche, détrompez vous. Mais pas par son cousin, car même si elle appréciait leurs caresses, elle ne voulait pas aller plus loin. Pourquoi ? Il était son cousin, et aussi son esclave, pourquoi se serait-elle abaissée a lui ? Et cela, malgré toute la tendresse qu'elle avait pour lui. Après ce refus, qui blessa l'orgueil du jeune homme, il faut bien l'avouer, il y eu comme une distance entre eux. Certes, ils passaient encore leur temps ensemble, mais la gêne ne les quittait plus.

Mais tout n'est pas fait pour durer, et les deux jeunes gens l'apprirent de façon bien cruelle. Tous deux reçurent leur lettre de Poudlard. La jeune fille était en liesse, elle n'était pas une cracmol, et elle allait être avec des gens comme elle. Finit les moldus méprisant, l'interdiction de faire des sorts ou de parler de magie devant quelqu'un. Elle allait enfin aller dans un endroit où elle se sentirait chez elle, se sentirait libre de se faire des amis qu'elle estimerait digne d'elle.
Les cousins partirent d'ailleurs ensemble acheter leurs fournitures, accompagnés de leurs parents. C'était une belle journée ensoleillée, une légère brise venant rafraîchir les jeunes gens. Ils marchaient tranquillement, en famille vers le chemin de Traverse, tous semblaient heureux, et c'est pourtant a ce moment là que le malheur s'abattit sur cette famille. Ils étaient tous arrivés a un passage piétons, et attendait de traverser. L'oncle d'Artémis se tenait devant les deux enfants, et lorsque le petit bonhomme passa au vert, il fut le premier a poser le pieds sur les lignes blanches. Mais une voiture ne l'ayant pas vu arriver, le percuta de plein fouet. Plus personne n'osait bouger, comme si le temps s'était arrêté, comme si ce qu'on venait de voir ne pouvait être qu'une hallucination. Artémis saisit instinctivement la main de son cousin qui se tenait prêt d'elle, et dont les yeux, grand ouvert devant une pareille horreur, semblait avoir du mal à respirer. Tandis que sa tante se mettait a hurler.
On apprit par la suite que le chauffard, un moldu, était poursuivit par les forces de l'ordre et tentait de s'échapper, au beau milieu de la capitale.

Artémis ne fut donc pas directement touchée par ce décès, et ce, bien qu'elle aimait son oncle, sa peine n'était rien comparée a la souffrance qui déchirait son cousin. Louis et sa mère vinrent chez Artémis et ses parents pour la nuit. Ses parents voulant prendre soin de la jeune veuve. Louis passa sa soirée dans la chambre d'Artémis, lové dans son lit, caché sous les couvertures, comme un enfant voulant se protéger des monstres qui se tapissent sous son lit. Artémis, du haut de ses quinze ans, prépara le repas pour tout le monde. Louis refusa de descendre manger, tout comme sa tante. Ses parents passèrent leur soirée auprès de celle-ci. La jeune fille monta donc dans sa chambre armée d'une assiette, voulant prendre soin de son infortuné cousin. Elle le trouva à la même place, il n'avait pas bougé. Posant l'assiette sur le sol, elle le rejoignit sous les couvertures, se penchant par dessus lui pour le regarder. Il ne pleurait pas, bien qu'Artémis sache que les larmes viendraient, mais son regard avait la même expression d'horreur qui ne l'avait pas quitté de la journée. Passant sa main sur les joues du jeune homme, elle le caressa doucement, voulant le rassurer. Puis doucement, elle s'allongea tout contre lui et l'entoura de ses bras, enfouissant son visage dans son cou, lui murmurant des paroles apaisantes.

Louis finit par se retourner vers sa cousine, les yeux humides. Il finit par craquer et par pleurer, lové dans le giron de sa cousine. Elle lui caressa le dos, patiente. Ce qui était étonnant de la part de la jeune fille. Mais, si les rôles avaient été inversés, elle aurait aimé que quelqu'un soit là, qu'elle ait une épaule contre laquelle pleurer et crier sa douleur. Le jeune homme entoura ses bras autour de la taille de sa cousine, la serrant de toute ses forces, s'accrochant à elle, comme un noyé a une bouée. Il avait besoin d'elle, elle était là, vivante, et elle ne l'avait pas abandonné n'est ce pas ? Il leva vers elle ses yeux rougit d'avoir trop pleuré.

« Dis...Tu m'aimes Arté ? »

elle caressa doucement son visage qui commençait a se couvrir d'une légère barbe bonde. Elle eut un sourire triste.

« Bien sûr que je t'aime...Tu es mon troll d'esclave... »

Et a ces mots, elle déposa un chaste baiser sur le front soucieux de son cousin. Cousin qui n'en resta pas là. Et c'est avec toute la force du désespoir qui lui demanda de l'embrasser. Comme avant, comme avant...Elle hésita un instant, mais ne pouvait refuser sa requête, pas ce soir. Elle embrassa tendrement son cousin, dont le visage était encore humide de larmes. Et cette nuit là, ils perdirent ensemble leur virginité. Après leurs ébats, la jeune fille resta éveillée toute la nuit, son cousin dormant dans ses bras, épuisé par cette journée. Elle fixait le plafond, horrifiée parce qu'elle venait de faire. Et elle décida d'oublier cette nuit là, de faire comme si rien ne s'était passé.

C'est d'ailleurs cet épisode qui permit aux deux jeunes gens d'avoir une surprisde taille a leur arrivée a Poudlard. En effet, tous deux ne virent pas des calèches qui roulaient toutes seules...Non...Cela aurait été trop beau. Non, tous deux virent ces créatures répugnantes que sont les Sombrals, cheveaux reptilients, cadavériques, et aux yeux éffrayants ! Artemis ne les quittaient pas des yeux, de peur qu'ils les attaquent. Alors que Lou, comme a son habitude depuis l'accident, s'en contrefichait, étant devenu acerbe et froid depuis lors. Mais il demeurait attaché à sa cousine, même si aucun d'eux n'avait reparlé de cette nuit là. Mais Artemis, a son arrivée au château s'éloigna un peu de lui, après tout, ce n'était pas les beaux garçons qui manquaient, même si tous n'étaient pas dignes d'elle. Elle avait trouvé sa place, elle menait pour ses ennemis une vie de terreur, s'amusant parfois a les humiler. Elle était également une élève douée, adorant apprendre de nouveaux sorts.
Et ce qui arriva avec les quatres puissances, bien qu'effrayant, eu des conséquences qui la ravirent. La magie noire allait arriver au château ! Finit les expelliarmus lors des duels ! Cela allait épicer leur vie a tous ! Et ce n'était pas pour déplaire a cette élève au la beau d'albatre, a la chevelure brune, et au regard bleu vert si étrange qu'elle partageait alors l'un des garçons les plus effrayants de l'enceinte du château .