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 Et que les livres soient les seuls témoins de ma vie.

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Laël J. Oridor
Laël J. Oridor
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Et que les livres soient les seuls témoins de ma vie. Vide
MessageSujet: Et que les livres soient les seuls témoins de ma vie.   Et que les livres soient les seuls témoins de ma vie. EmptyMar 20 Avr - 0:13

Et que les livres soient les seuls témoins de ma vie. Ash_stymest_040&Et que les livres soient les seuls témoins de ma vie. Girlyb_hommes-eugen024
La pensée à des ailes. Nul ne peut stopper son envol. Youssef Chahine.

    N'y avait-il rien que plus satisfaisant qu'un après-midi où le vent semblait souffler avec délicatesse un vieil adage et où les élèves profitait des derniers pales rayons que le soleil, fatigué par l'été étouffant qu'il avait donné, avait du mal à transmettre jusqu'au parc si bien que le ciel en était d'un gris mélancolique, n'y avait-il donc rien de mieux que ce genre d'après-midi qui avait la fâcheuse habitude de vous donner cette implacable envie de dormir après plusieurs cours donné par des professeurs qui mettaient tellement d'énergie dans leur enseignement qu'ils arrivaient à s'endormir eux-mêmes ? Oui, il y avait sûrement mieux, il y peut toujours y avoir mieux que les situations que l'on affronte. C'est ce que pensait le serdaigle en montant doucement les marches, une sucrerie à la bouche, alors que tous ses camarades le dépassaient, le bousculaient sans lui prêter attention, préférant aller rejoindre leurs amis, poser leurs affaires à et s'adonner à des occupations plus attrayantes que ces fichus cours. Ils pensaient tous à ça de toute façon, la joie, les amis, les fêtes, les aventures. Ils préféraient penser aux autres qu'à eux mêmes finalement et, c'est pour cela que le jeune homme à la crête soupira tout en rangeant son goûter avant de pousser gravement la porte de bois, sanctuaire du savoir gardé par une sorte d'être sans pitié manifestant une grave dépendance aux livres et à tous ce qu'ils pouvaient contenir. Laël, le regard perdu dans l'admiration de ses chaussures légèrement abimés, commença à partir vers le fond de la salle qui comptait sûrement plus d'étagères garnies que d'élèves, jusqu'à ce qu'une main se pose sur son épaule.

    « Eh Laël, t'as fait la recherche pour la divination ? »
    « Oui. »
    « Tu peux m'aider ? »
    « Tiens. » dit le bleu et argent en tendant sa recherche à son camarade de classe, qui paru étonné que le jeune homme lui lègue si facilement le fruit de ses recherches.
    « Enfin tu es sûr ? Ce... Ca va ? »
    « Ca va toujours. » Improvisa l'aigle dans un sourire. « Du moment que tu me le ramènes dans l'état où je te l'ai donné... » dit-il avant de disparaître derrière le chariot de livres promené par un malchanceux qui s'était attribué les foudres du bibliothécaire.

    De son habitude, Laël donnait très rarement des travaux tous faits aux gens, il préférait les aider, il aimait cela, rendre service, et il aimait encore plus voir cette petite étincelle de satisfaction apparaître dans les yeux des gens qu'il aidait. C'était comme ça et cela faisait des années qu'il avait ce petit plaisir. Mais, aujourd'hui, il s'en foutait éperdument, il voulait être seul, il voulait qu'on le laisse, que personne ne lui parle. Il voulait réfléchir, se poser et réfléchir dans ce havre de paix et de silence que représentait la bibliothèque. Il n'était pas le seul à le faire, mais ce devait être le seul qui ne l'avouait pas. Il n'aimait pas que les gens s'inquiètent pour lui et ce, souvent pour rien. Il ne voulait pas prendre toutes les pensées en mal. Il ne voulait pas qu'on se souvienne de lui comme du pauvre petit Laël que tout le monde plein, ce petit garçon frêle qu'on pourrait croire drogué et coiffée avec des pétards, sur ce thème, son père l'avait déjà assez rassasié. Il le savait, qu'il aurait pu être mieux, qu'il aurait pu avoir la raie au milieu, s'habiller avec autant de classe que son nom et son argent le permettait et être plus exigeant sur les apparences, mais il ne voulait pas, cela demandait trop d'effort pour lui, ce feignant du dimanche. Et puis, non pas que ce jeux aurait pu lui déplaire, mais il n'y arrivait tout simplement pas, c'était un jeu trop complexe pour lui, ce n'était pas inscrit dans ces gènes. Il n'arrivait pas à tricher comme ça dans sa vie, il n'avait pas ce don qu'avait les autres de pouvoir se cacher derrière leurs masques. Il en avait un autre bien plus prenant qu'il n'arrivait même pas à maîtriser. Et puis sa vie était tellement plate et remuante à la fois qu'il n'y arriverait tout simplement pas. Alors il gardait certaines choses pour lui et parlait volontiers d'autre avec ses amis. C'était un coffre à secrets sélectif, très sélectif, autant qu'une jeune future mariée qui fait sa liste d'invités. Alors il était là, seul dans un coin, face à des livres aux couvertures anciennes, en train de réfléchir. La première chose qui lui venait à l'esprit était tout naturellement Zelléa, sa petite princesse en sucre qu'on avait cassé de toute part et qui hantait sa vie et ses rêves, mais, au moins, ses visions l'avait laissé tranquilles. Mêmes si elles avaient toutes été vraies. C'était affreux et il s'en voulait terriblement, mais il avait prédit la mort de sa toute douce et n'avait rien fait contre. Pourtant, il avait eu ce sentiment que sa vision était vraie qui lui tiraillait les entrailles et il n'avait rien fait, rien qui puisse la sauver. Et il ne le regrettait pas même si cela le malmenait. Et s'il en parlait à quelqu'un ? Non, il ne devait pas, il ne pouvait pas. Il ne voulait pas. Ce n'était pas vraiment de se soucier du « qu'en dira-t-on » qui lui passa par la tête, mais cet affreux sentiment de pitié qu'on aurait à son égard, comme son père. Et il ne voulait pas que tous ces gens adorables lui fassent penser à son père. Il commença à prendre une feuille et un crayon, puis à dessiner l'esquisse d'une forme familière. Un dragon, toujours. Et il ne savait pas pourquoi ces créatures l'obsédaient depuis si longtemps. Encore plus depuis que sa défunte moitié lui avait dit qu'elle serait prête à tout plaquer pour aller élever ces bêtes volantes avec lui en Russie.

    Alors il était là, s'appliquant, penché sur sa feuille, fesant le vide dans sa tête. Il arrêtait de penser, il bloquait toutes ces choses qui voulaient venir lui remplir l'esprit jusqu'à l'implosion. Il avait toujours été très doué pour faire le vide dans sa tête, pour ne plus penser à rien. Et, quelques fois, alors que le vide dominait ses pensées, son esprit qui devait se sentir plus léger s'envolait dans le futur, ses yeux se grisaient pour voir l'avenir et son corps s'effondrait par terre. C'était aléatoire, et, si n'importe qui aurait pu s'énerver face à ces évènements qui ne prévenaient pas, l'aigle lui, aimait bien ce sentiment de surprise lorsqu'il se sentait partir et ce nouvel air qu'il pouvait sentir dans ses visions. Et, à ce moment même, par un caprice du destin, il tomba, ses yeux bleus devenant pales, sa chaise tombant tout comme lui sous son poids, son corps s'écrasant par terre dans un silence terrifiant. Et personne ne s'en rendit compte. Ou presque. Oui car, aussi loin qu'il aurait pu être, quelqu'un était venu vers lui et lui parlait, le secouait. Qui donc ? Il ne savait pas, mais ce contact vint rompre le vide en lui et ses pensées affluèrent de plus belle. C'était un réveil brusque qu'on lui affligeait et il n'avait aucune idée de qui était l'insouciant qui lui avait privé de sa part d'avenir.
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Phoenix E. Fergesson
Phoenix E. Fergesson
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MessageSujet: Re: Et que les livres soient les seuls témoins de ma vie.   Et que les livres soient les seuls témoins de ma vie. EmptyDim 25 Avr - 20:58

« Une bibliothèque est une chambre d'amis. »

Phoenix regardait l’horizon en soupirant. Des nuages noirs encombraient le ciel, empêchant quiconque de mettre son nez dehors. Ce qui agaçait grandement le grand brun. La tête appuyée contre sa main, son fessier posé sur un fauteuil près de la fenêtre dans la Salle Commune des Serpentard, cela faisait déjà un bon quart d’heure qu’il soupirait ainsi. Il avait prévu depuis longtemps, de se promener dans le parc ce jour-ci, et bien sûr, Merlin – ou quelqu’un d’autre – en avait décidé autrement. Et du coup, il devait vivre – ou plutôt survivre – avec cet intense besoin de se dégourdir les jambes, de préférence dehors. Car arpenter les couloirs tous plus ou moins semblables de Poudlard devenait vite lassant. Certes, il ne s’était pas ennuyé toute la journée, il y avait eu les cours, plus ou moins passionnants, il avait comme toujours été studieux, mais son regard avait invariablement eu tendance à trainer vers les fenêtres. Mais bien vite il avait du se rendre à l’évidence, il ne pourrait pas sortir aujourd’hui. Pourtant le jeune homme était habitué à l’Angleterre et son temps trop souvent pluvieux, mais voilà … Il aurait préféré qu’il en soit autrement. Se rendant compte qu’il faisait plus penser à un mollusque qu’à un garçon ayant une bonne éducation, il se releva bien vite sur son siège scrutant la pièce où il se trouvait pour vérifier que personne ne le fixait du regard. Il soupira de soulagement lorsqu’il remarqua que personne ne semblait intrigué par son comportement, par son relâchement. Il était bien trop rêveur parfois. Il passa une main lasse dans ses cheveux puis se leva. Il devait se bouger ou alors il allait s’endormir. Bon, il était sûr de ne pas ronfler, mais il n’avait pas confiance en ses petits camarades … Il prit son sac de cours, passa la lanière autour de son cou, et sortit. Alors qu’il continuait de marcher, gravissant les escaliers, il entendit des bruits de course derrière lui. Un fin sourire alluma son visage. Une main se posa sur son épaule et il tourna la tête pour reconnaître de suite son meilleur ami. Ils se saluèrent et continuèrent à marcher ensemble.

Discutant tranquillement ensembles, les deux vert et argent atteignirent la bibliothèque. Ils avaient prévu de s’entre-aider pour leur devoir de potion qui était assez ardu. Ils s’installèrent en essayant toujours en train de discuter sans vraiment faire attention à ceux qu’ils dérangeaient. Ils sortirent leur parchemin et allèrent chercher les livres dont ils avaient besoin. C’est les bras encombrés de vieux ouvrages qu’ils revinrent à la table qu’ils avaient choisi. Ils soupirèrent en même temps. Ils étaient certes excellents en cours, mais cela ne les empêchait pas d’abhorrer comme beaucoup d’élèves les travaux interminables. « C’est parti … » grogna Phoenix. Son ami acquiesça en grognant et ils se plongèrent de concert dans les manuels de potion. Grifonnant de temps en temps sur leur parchemin, échangeant quelques mots, le temps passa à une vitesse folle sans qu’ils ne s’en rendent compte. Le premier à s’en apercevoir fut l’ami de Phoenix, tandis que ce dernier continuait à travailler sans relâche, les sourcils froncés. Connaissant l’agacement de son ami lorsqu’on le dérangeait alors qu’il réfléchissait, il préféra s’en aller sans faire de bruit. Le beau brun se retrouva donc seul à sa table, en train de plancher sur son sujet de potion. Il pestait mentalement contre la difficulté de ce sujet, mais il ne pouvait supporter l’idée de négliger son devoir. Alors il persévérait ardemment. Son écriture soignée se transforma doucement en l’hiéroglyphe alors que la fatigue engourdissait son poigné endolori. Mais cela ne l’empêchait pas d’écrire encore et toujours, ignorant la douleur sourde qui se propageait dans son bras. Ses sourcils ne formaient plus qu’une ligne au dessus de ses yeux, et un bâillement faillit franchir ses lèvres serrées. Mais sa plume glissait sur son parchemin inlassablement.

Plusieurs heures étaient passées sûrement, mais il n’en avait toujours pas conscience. Il n’avait même pas remarqué que son ami Serpentard était parti sans le prévenir. Puis soudain, un grand bruit, celui d’une chute sûrement, se fit entendre. Dans son sursaut, il appuya trop fortement sur sa plume qui se brisa, déjà trop usée par les heures intensives qu’elle venait de subir. Jurant tout bas, il leva les yeux pour repérer la personne responsable de ce gâchis, décidait à lui faire comprendre qu’il n’était pas conseillé de le faire sursauter. Mais lorsque son regard se posa sur la forme allongeait par terre, sous une chaise, sa fureur s’apaisa pour laisser place à l’inquiétude. Il reconnaissait cette silhouette ! Il se leva, restant tout de même calme, et s’approcha rapidement de la personne s’étant écroulé au sol. Il souleva la chaise qui remit sur ses quatre pieds. Phoenix regarda autour de lui pour remarquer alors que personne ne s’était aperçu de la chute de l’élève. En même temps, il était la personne la plus proche de lui, et il lui en fallait peu pour le déranger lorsqu’il étudiait. Il prit le bleu et argent par les épaules et entreprit de le secouer légèrement. Mais ne voyant aucune différence, il commença doucement – mais sûrement – à paniquer. Alors il secoua plus fortement le Serdaigle. « Laël ? Ouh ouh ? Tu m’entends ? Laël, reviens à toi, allez. » Il ne voulait pas alerter les autres avant d’être sûr qu’il ne pourrait rien faire pour le garçon. Après tout, passer pour le héros voilà quelque chose qui lui plairait bien ! Et puis, que l’élève inconscient lui soit redevable, ce n’était pas rien. Mais il ne voulait pas non plus avoir un mort sur la conscience … Heureusement pour lui, le jeune homme ouvra enfin les yeux, mais difficilement. « Ah enfin ! On n’a pas idée de faire des frayeurs comme ça aux gens … » soupira-t-il. Un sourire espiègle éclaira le visage jadis soucieux du jeune homme qui était près à taquiner son Aigle préféré. « Alors Laël ? On tombe dans les vaps comme les ladies ? Tu lisais quoi pour te sentir aussi mal ? » Il se leva puis tendit une main au bleu et argent encore assis au sol sur son séant. La lueur dans ses yeux se fit légèrement moqueuse, bien qu’il fût assez curieux de savoir pourquoi le jeune homme était tombé dans les pommes. Il espérait que le brun répondrait à sa curiosité sans qu’il n’ait à le supplier, chose qu’il abhorrait.
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Laël J. Oridor
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MessageSujet: Re: Et que les livres soient les seuls témoins de ma vie.   Et que les livres soient les seuls témoins de ma vie. EmptyJeu 29 Avr - 21:54

    « Laël ? Ouh ouh ? Tu m’entends ? Laël, reviens à toi, allez. »

    Le bleu et argent, qui commença à partir, reconnut cette voix qui le secouait, qui l'obligeait à rester. C'était une voix qui le secouait, avec une once de panique et peut-être un peu trop de fierté, mais juste ce qu'il fallait de tendresse. Le serpent secoua plus vigoureusement l'aigle qui consentit à entrouvrir les yeux, la légère fente de ses paupières le laissant entrevoir les lèvres pulpeuses de Phoenix. C'était toujours la première chose qu'avait vu le petit aigle chez le petit oiseau qu'était Phoenix, ses lèvres. Elles étaient énormes et c'était la seule chose que l'on voyait vraiment chez lui, avant son énorme tignasse brune puis ses yeux perçant qui vous glaçait sur place avant qu'il ne vous reconnaisse et que ces yeux se fassent plus tendre, plus chaleureux, plus... Humain.

    « Shgrmmmghgm. » Grogna doucement Laël, la brume laissant encore son esprit confus.
    « Ah enfin ! On n’a pas idée de faire des frayeurs comme ça aux gens … »

    Clama Phoenix avec un sourire malicieux alors que l'aigle assis doucement ses fesses sur le sol froid de la bibliothèque. Il avait toujours été fasciné par cette manie qu'avait son ami de manier ainsi ses sentiments, de s'en jouer alors que lui ne pouvait que les ignorer. Il était sûr que ses mains étaient moites et que sa voix tremblotait quand il le secouait alors que maintenant l'on pouvait apercevoir toutes ses dents et une petite lueur dans ses yeux danser aux rythmes des pulsations de son coeur. Ce garçon était un vrai serpent, dans tous les sens du terme et, c'est ce qui avait toujours attiré Laël vers ce grand garçon qui avait réussi à ne pas l'aimer alors qu'il se connaissait à peine. Comment diable quelqu'un pouvait trouver le surnom de Petit Oiseau... Réducteur ? Il n'y avait que lui pour ne pas trouver ça mignon et pour tenter de détruire Laël comme il savait si bien le faire. Heureusement pour lui – enfin, surtout pour l'aigle – Phoenix était de ceux qui savaient reconnaître leurs erreurs et, accessoirement, les réparer.

    « Alors Laël ? On tombe dans les vaps comme les ladies ? Tu lisais quoi pour te sentir aussi mal ? »
    «  Figure toi Petit Oiseau, que j'ai toujours aimé mon côté féminin. » dit très sérieusement Laël avant d'attraper la main de son cher et tendre vert et argent pour se relever, légèrement tituber avant de se tenir enfin droit sur ses pieds, pouvant faire face au serpent. « Je ne lisais pas, c'est la belle en détresse qui m'habite qui attendait que tu viennes la sauver. »

    Le sourire de Phoenix se fit moqueur. Il voulait savoir. Il voulait tout le temps tout savoir, tout contrôler et cela amusait Laël. Il ne se sentait jamais aussi drôle que quand il était avec son Petit Oiseau et c'était surement pour cela qu'il aimait sa compagnie. L'aigle s'épousseta soigneusement les vêtements avant de retourner devant la place qu'il occupait quelques instants plus tôt et de ranger soigneusement ses oeuvres. Quelques personnes passaient sans vraiment leur prêter attention alors que l'aigle regardait Phoenix qui était toujours aussi classieux. Il fallait le dire, l'aigle n'avait pas autant d'amis qui avait une telle distinction de soi et qui, disons le, est vrai. Oui, Phoenix était vraiment beau, oui, il était vraiment vaniteux, oui, il était ci, oui, il était aussi ça, il le savait et il en jouait affreusement bien. Et cela était aussi sûr que Laël était la mascotte aigle la plus amusante qu'ai connu Poudlard. Autant dire qu'il n'y avait pas à en douter.

    « Eh bien, je pense que je pourrais te dire pourquoi je me « sentait aussi mal » comme tu dis... » Laël croisa ses mains devant lui, se dandinant comme une petite fille. « Je pourrais te le dire si tu fais cinq fois le tour du parc à cloche pied avec un balai ensorcelé sous le bras, ton caleçon sur la tête et tout ça en une minute. » Laël sourit doucement avant de prendre un livre sous le regard inquisiteur du bibliothécaire qui semblait le fusiller du regard par le fait qu'il parlait sans lire, et qu'il ne lisait pas en parlant. « Ou tu pourrais aussi me dire s'il te plait. » dit-il avant de s'asseoir, puis de sortir doucement un bout de chocolat de sa poche et de l'enfourner dans sa bouche tout en le savourant. « Alors, tu préfères te dégourdir les jambes ou me dire s'il te plait mon Petit Oiseau ? » Laël sourit. En fait, malgré l'extrême politesse qu'avait Phoenix, il n'avait aucun souvenir qu'un jour celui-ci lui ai dit s'il te plait. Et s'il se souvenait bien de quelque chose que lui avait appris son père, c'est qu'il n'était jamais trop tard.


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Phoenix E. Fergesson
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MessageSujet: Re: Et que les livres soient les seuls témoins de ma vie.   Et que les livres soient les seuls témoins de ma vie. EmptySam 8 Mai - 13:53

« Figure toi Petit Oiseau, que j'ai toujours aimé mon côté féminin. »Phoenix dit le Petit Oiseau n’aimait pas beaucoup ce surnom, mais venant de la bouche du Serdaigle, il arrivait facilement à l’accepter. Pourquoi ? Il n’en savait rien. Peut-être que sa fascination pour ce bonhomme dépassait son agacement, ce qui n’était pas rien d’ailleurs. Et puis il aimait l’air sérieux que prenait le bleu et argent alors qu’il disait une énormité. Aimer son côté féminin ? Pourquoi pas … Bien que le Serpentard aimasse trop son côté viril pour avouer aimer son côté féminin. Lorsque la fine main de l’Aigle se posa dans la sienne, il l’aida à se lever. Son ami sembla chanceler quelques instants avant de retrouver complètement son équilibre. Le sourire moqueur du vert et argent n’avait pas quitté ses lèvres, mais il était doux, comme s’il ne voulait pas effrayé l’oiseau. En fait, il atténuait sa moquerie simplement pour obtenir des réponses à ses questions. « Je ne lisais pas, c'est la belle en détresse qui m'habite qui attendait que tu viennes la sauver. » Bien malgré lui, son sourire moqueur s’accentua. C’était tellement tentant de sortir une parole moqueuse, une petite taquinerie. Mais il ne pouvait pas, sinon, jamais sa curiosité ne sera contentée. Et le jeune homme n’était pas sûr d’accepter la frustration de sa curiosité. Mais le volatil ne semblait pas être pressé. Il s’épousseta, s’assit, tandis que le serpent s’impatientait en silence. Monsieur rangea ses affaires avec application, et Phoenix remercia le ciel de lui avoir fourni une éducation telle qu’il ne trépignait pas comme un gosse à qui on a dit d’attendre pour ouvrir ses cadeaux de Noël.

« Eh bien, je pense que je pourrais te dire pourquoi je me « sentait aussi mal » comme tu dis... » Mais le beau brun ne se faisait pas d’illusion … Le Serdaigle ne comptait pas se dévoiler si facilement, cela se sentait, se voyait. Avec son air de gamine, le petit Laël était le vrai petit chenapan. « Je pourrais te le dire si tu fais cinq fois le tour du parc à cloche pied avec un balai ensorcelé sous le bras, ton caleçon sur la tête et tout ça en une minute. » Ca, le vert et argent l’attendait … Il n’aurait rien sans rien, bien entendu. Car il fallait bien amuser Laël. Mais il ne comptait pas lui faire ce plaisir. Bien entendu. Il avait une réputation à préserver voyons ! Et une dignité bien trop grande aussi. Son égo n’avait pas envie de souffrir. Phoenix suivait les gestes de l’aigle avec insistance, attendant la suite, car suite il devait avoir. « Ou tu pourrais aussi me dire s'il te plait. » Non, pas ça. Jamais ! Il n’allait pas s’abaisser à dire s’il te plait. Oui, il était poli, bien élevé. Mais comme dit plus haut, il avait de surcroît un égo surdéveloppé. Un égo qui détestait souffrir. Un égo qu’il préservait. Et le petit monsieur qui s’assoit, qui déguste un carré de chocolat. Pff ! « Alors, tu préfères te dégourdir les jambes ou me dire s'il te plait mon Petit Oiseau ? » Malgré toute sa prestance et son maintien, le dit Petit Oiseau ne put s’empêcher de grogner. Mais c’est tout de même avec classe et grâce qu’il s’assit près de son maitre chanteur.

« Tu sais que ce n’est pas beau de faire du chantage, affreux volatil ? » lança Phoenix, ayant repris son ton doucereux. Il n’est pas dit qu’un Serpentard se laisserait mener par un Serdaigle. Il voulait bien reconnaître que ce dernier était intelligent, mais jamais il n’aurait sa ruse et sa capacité à obtenir ce qu’il veut quand il le souhaite. Fort de cette constatation, son sourire moqueur avait repris possession de ses lèvres. « Surtout faire du chantage à un Serpentard … C’est s’en prendre à plus gros que soit, mon mignon. » Un sourire charmeur naquit sur son visage. Oui, il usait de tout ce qui était en sa possession. Cela marchait la plupart du temps, pourquoi pas avec Laël ? Il n’était aucunement une exception à la règle. En tout cas, Phoenix y veillerait. Un coude sur la table, il posa sa tête sur la paume de sa main, gardant son regard fixé dans celui de l’aiglon. Oh oui, il aurait sa réponse ! Et cela sans supplier. Peut-être que Laël se croyait malin, mais face à un Serpentard dans l’âme il n’avait probablement aucune chance. C’est tout du moins ce que pensait Phoenix. Mais l’oiseau était plein de ressource … Voilà une chose que le beau brun n’aurait pas du négliger ! Mais que voulez vous, l’égocentrisme peut souvent rendre stupide et aveugle.


- ce que j'ai écrit est laid, tellement laid que j'en ai honte >.< -
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Laël J. Oridor
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MessageSujet: Re: Et que les livres soient les seuls témoins de ma vie.   Et que les livres soient les seuls témoins de ma vie. EmptySam 8 Mai - 16:04

    Phoenix grogna. Oui, contre toute attente, le serpent grogna avant de reprendre toute son élégance et de se diriger à pas feutré vers l'aigle avant de s'asseoir comme l'aurait jadis fait un roi. Il avait retrouvé toute sa constance et semblait être prêt à établir un dialogue. Juste un dialogue. Laël sourit tout en finissant d'engloutir son chocolat. Il aimait bien taquiner l'égo démesuré du vert et argent qui pouvait prendre une simple demande comme une soumission monstre qui le ferait passer pour un faible pendant des décennies. A vrai dire, Laël n'avait jamais vu Phoenix se soumettre à quelqu'un d'une quelconque manière, consciente ou non, c'était même plutôt l'inverse qui se produisait d'habitude. Le serpent usait toujours de ses charmes ou de son nom pour demander quelque chose, ou plutôt, pour l'obtenir. Son sourire moqueur s'effaça pour laisser place à un rictus qui se voulait amical et, Laël le savait, dans quelques instants il allait utiliser sa douce petite voix d'enfants pour charmer Laël. Mais pourquoi diable voulait-il savoir ? L'aigle n'en avait aucune idée mais il était bien décidé à faire tourner le serpent en rond.

    « Tu sais que ce n'est pas beau de faire du chantage, affreux volatil ? » et de nouveaux un sourire moqueur sur ses lèvres.
    « Affreux moi ? Je suis Français, il y a une différence voyons. » dit Laël tout en prenant un air offensé.
    « Surtout faire du chantage à un serpentard... C'est s'en prendre à plus gros que soi mon mignon. »
    « Mon affreux, mon mignon... Arrête Petit Oiseau je m'y perds ! Eh puis gros, gros... C'est vrai que ton fessier prend de la place, mais quand même. »

    Laël s'amusait comme un petit fou, mais le serpent ne décrochait pas. Il sortit son sourire charmeur, tout comme l'avait prédit Laël plutôt, et posa sa tête sur une de ses mains en s'appuyant sur ses coudes tout en plongeant dans les yeux de Laël, comme s'il pensait pouvoir découvrir son secret en le scrutant. Ou en le charmant. Laël sourit avant de fixer Phoenix à son tour, soutenant sa tête de ses mains, un petit sourire satisfait au coin des lèvres. C'est vrai que Phoenix était beau. Il avait un visage bien sculpté et ce petit air de bourgeois lui allait extrêmement bien. Peut-être un peu trop d'ailleurs. L'aigle soupira bruyamment. Phoenix le connaissait donc si mal ? Surement. Jamais l'aigle, qui était un vrai coffre fort pour ce qui concernait les secrets, ne révèlerait une telle chose au Serpentard parce que celui-ci lui faisait les yeux doux. Laël était un peu déçu par son ami. Au fond, que savait le serpent de l'aigle ? Rien. Il était fasciné par lui et ce, peut-être étais-ce car justement l'aigle ne disait jamais rien. C'était une des choses que lui avait apprit son père et, comportement rare, Laël l'appliquait à la lettre.

    « Tu sais Petit Oiseau... » Laël hésita. « Je veux bien te dire quelque chose, mais ce n'est pas mon secret. » Il sourit légèrement. Phoenix était surement déçu de son annonce, mais il savait que le serpent était mort d'envie de savoir quelque chose à propos de lui. Il ne comprenait pas cette fascination que le vert et argent avait pour lui. « Il y a pas si longtemps, j'étais fiancé. A une espagnole. Elle était belle, peut-être un peu trop pour moi d'ailleurs. » Il marqua un temps d'arrêt, fermant les yeux. Se rappeler d'elle lui faisait toujours mal. Il n'aimait pas en parler, mais il avait en lui ce besoin pressant de devoir en parler à quelqu'un et il espérait que Phoenix pouvait être cette personne. « Elle est morte. Assassinée. »

    Un silence plana dans la bibliothèque. De suite, Laël regretta, il se mordit la lèvre. Pourquoi lui avait-il dit ? C'était tellement compliqué avec Phoenix. Le vert et argent le pressait toujours pour qu'il lui dise des choses et il semblait à l'aigle que Petit Oiseau ne lui parlait que pour ça. A Poudlard, quasiment personne n'était au courant pour Zéllea, sa défunte douce. Il était même impensable pour les Poudlariens d'imaginer Laël en couple avec quelqu'un. Il avait des relations ambiguës avec certaines personnes certes, mais le bleu et argent était bien connu pour être l'éternel célibataire.

    « Tu es la première personne à qui je le dis Phoenix. Alors pour une fois tiens ta langue d'accord ? » Laël ressortit encore du chocolat de sa poche, il le coupa en deux avant d'en proposer un bout à Phoenix. « Et tu vois, c'est à cause de mon secret que je n'aime pas parler d'elle. » Il respira longuement avant de reprendre. « Phoenix, je crois que tu devrais aller voir un médecin pour tes yeux, ton égo et ton orgueil les ont tellement aveuglés qu'il n'arrive plus à voir que ton charme n'a aucun effet sur moi. Et tu fais vraiment simplet dans cette pose. »

    Laël eu un sourire furtif. C'est fou comme taquiner le serpent lui faisait du bien.
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Phoenix E. Fergesson
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Et que les livres soient les seuls témoins de ma vie. Vide
MessageSujet: Re: Et que les livres soient les seuls témoins de ma vie.   Et que les livres soient les seuls témoins de ma vie. EmptyDim 9 Mai - 22:55

« Mon affreux, mon mignon... Arrête Petit Oiseau je m'y perds ! Eh puis gros, gros... C'est vrai que ton fessier prend de la place, mais quand même. » Phoenix adorait leur échange. C’était si distrayant ! On ne pouvait nier que l’aiglon avait de l’esprit, trait de caractère qui confortait le beau brun dans sa fascination qui se faisait contre toute attente croissante. Il faut dire que Laël entretenait bien le mystère autour de lui, ce qui ne pouvait qu’attirer deux fois plus le vert et argent. Mais pour l’instant, il se perdait dans leur réplique dite avec un sourire à la fois espiègle et moqueur. Il était évident que les deux hommes s’amusaient grandement. Et puis le silence se fit, coupé seulement par un soupir du bleu et argent. Que signifiait se soupir ? Etait-il lassé ? Mais de quoi ? Le Serpentard cherchait vainement une explication lorsqu’il la trouvât. Oui, il devait être las des techniques de persuasion du serpent. Il reconnaissait y aller un peu fort avec le Serdaigle, mais il ne pouvait s’empêcher de se faire presser, usant, et abusant surtout, de ses nombreux talents. Cela devait être fort gênant, et il comprenait parfaitement que cela ne plaise pas. Mais voilà, le vert et argent n’en avait cure. Après tout, il usait et abusait de ses charmes comme il le souhaitait que cela plaise ou non. Bien que cela ne l’aidait pas à en savoir plus sur l’origine du malaise de son ami …

« Tu sais Petit Oiseau... » Le dit Petit Oiseau regarda son interlocuteur avec plus d’intention encore – si cela était possible … Il était surpris de l’hésitation du jeune homme mais ne dit rien pour le presser, et lui sourit en guise d’encouragement. « Je veux bien te dire quelque chose, mais ce n'est pas mon secret. » Le beau brun ne put s’empêcher de froncer les sourcils. Ce qu’allait lui dévoiler l’Aigle, même si cela n’était pas son secret, semblait tout de même important. Et il semblait être d’ailleurs tout aussi secret que l’explication de son malaise … C’est donc un peu perdu que le Serpentard écouta religieusement son vis-à-vis. « Il y a pas si longtemps, j'étais fiancé. A une espagnole. Elle était belle, peut-être un peu trop pour moi d'ailleurs. » Le sourire du Serpent se figea. La voix de son ami n’annonçait rien de bien, et l’emploie du passé était un mauvais présage. Pourquoi décrire sa fiancée au passé ? Il n’y avait qu’une explication à cela, et elle n’était pas joyeuse. Et puis, Laël ferma douloureusement les yeux avant de dire l’inéluctable. Et ce chagrin glaça le sang de Phoenix. « Elle est morte. Assassinée. » Cela résonna dans la tête du bellâtre. Il ne s’attendait pas à pareille révélation, et ne savait donc pas comment réagir. Aussi, resta-t-il paralysé. Son sourire s’était fané, bien entendu, et ses deux sourcils étaient restés froncés.

« Tu es la première personne à qui je le dis Phoenix. Alors pour une fois tiens ta langue d'accord ? » Le vert et argent reprit vie alors, se rendant compte de la confiance dont lui avait témoigné son ami pour lui dire pareille chose. Il se sentit un peu mal en constatant que son interlocuteur s’en voulait de lui avoir avoué un tel secret. Voilà bien une chose qui rendait mal le vert et argent : que l’on doute de sa capacité à être un vrai ami. Certes, il avait peu d’amis qui pouvaient témoigner de sa loyauté mais tout de même ! Il n’était pas un salaud – tout du moins, pas avec des personnes innocentes qui ne lui avaient rien fait – et savait bien se comporter. Garder un secret était dans ses compétences. Il accepta, toujours un peu absent, le carré de chocolat que lui proposa le gourmand. « Et tu vois, c'est à cause de mon secret que je n'aime pas parler d'elle. » Phoenix hocha doucement de la tête, il comprenait très bien le jeune homme et n’était pas si étonné que ça qu’il ait gardé pour lui ce secret douloureux : il en aurait fait de même si cela lui était arrivé. Il dégusta alors le chocolat qui fondit délicieusement sur sa langue. Après une grande inspiration, Laël reprit la parole. « Phoenix, je crois que tu devrais aller voir un médecin pour tes yeux, ton égo et ton orgueil les ont tellement aveuglés qu'il n'arrive plus à voir que ton charme n'a aucun effet sur moi. Et tu fais vraiment simplet dans cette pose. » Le sixième année se rendit compte qu’il n’avait pas changé de position depuis quelques minutes déjà. Et c’est avec élégance qu’il s’assit plus au fond dans son siège, laissant une main sur la table et une autre sur sa cuisse. Il n’en revenait pas que le jeune homme puisse passer d’un sujet à l’autre avec autant d’aisance ! Surtout que le sujet précédent n’était pas des moindres. Mais le gentleman prit le parti de ne pas revenir dessus plus que l’aiglon avait manifestement détourné la conversation en faisait exprès. « Hum … Sache, Honey, que je ne fais simplet dans aucune pose ! Cela se saurait sinon ! Mais je te pardonne cet outrage. » Il lui envoya un sourire muni d’un clin d’œil. Il aimait tant affubler les autres de ses surnoms si bien choisis ! C’était un véritable passe-temps, un mode vie plutôt même. Cela renforçait son image d’aristocrate décadent.
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