Charly R. Nicholls Messages : 19
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 |  Sujet: Charly R. Nicholls. Sam 27 Mar - 0:02 | |
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NichollsReese
...........................................Charly.
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♦ no one is going to save you.
vous pouvez faire cette partie sous forme de paragraphe. il faut cependant que toutes les informations demandées ici y soient présentes
NOM ; Nicholls, c'est le nom de mon père. Reese, c'est le nom de ma mère. Étonnant, n'est-ce pas ? Le pire dans tout ça, c'est que j'ai un nom d'une marque de chocolat. Vous connaissez ? Ça s'écrit pareille même. C'est du beurre d'arachide enrobé de chocolat. Étrange, lorsqu'on y pense.
PRÉNOM(S) ; Charly. Ce prénom va au deux sexes, mais on m'identifi souvent, comme un garçon juste qu'au moment où on m'aperçoit. Je suis une fillle. Tout ce qu'il y a de plus féminin, vous savez ? Mes parents ont toujours désiré avoir un troisième garçon, mais la nature leur a joué un mauvais tour. Eux, ils ne veulent rien savoir d'une fille...
NATIONALITÉ ; Anglaise.
AGE ; 19 ans
ANNÉE D'ÉTUDE; 5ième année.
PURETÉ DU SANG ; Sang-pur.
ORIENTATION SEXUELLE ; Hétérosexuelle.
BAGUETTE ; Ma baguette est composée de bois d'if de longueur de 31 centimètres.
NIVEAU SCOLAIRE ; Dépendant des cours. Je me débrouille dans certains, tandis que d'autres, je suis plutôt excellente.
MAISON SOUHAITÉE ; C'est vous qui décidez^^
DONS ; Aucun
PREFERENCE ; Toutes les sortes de magie peuvent servir. Je crois que la magie que je préfère est la magie noire. Je suis différente de ma famille, mais je suis consciente que toutes les magies servent à des choses totalement différentes. Me connaissant, j'Aime faire du mal aux gens car on m'a fait du mal. Je veux faire du mal à tous ceux qui ont la malchance de pouvoir m'en faire. Tant pis pour la terre entière.
ÉPOUVANTARD ; Mes frères me violant encore et encore...
PATRONUS ; Peut-on créer un patronus, lorsqu'on n'a pas de souvenir heureux. On peut apercevoir une légère forme de dragon de kommodo.
SUPPLÉMENT ; Sauvage |
........................................... ♦ you must l(ea)ive your life.
« Je suis née quand je suis morte. Ma famille ne me voulait pas. Ils ne m’ont jamais voulue. Ce qu’eux voulaient c’était avoir un troisième garçon. C’est pourquoi que j’ai un prénom qu’on confond la plupart du temps avec celui d’un garçon. Si vous saviez ce que j’ai vécu, vous y penseriez à deux fois avant de vous plaindre à propos de situations sans importance. Mais pour cela, il faut que je raconte ma fameuse histoire. Je ne commencerai pas par il était une fois, mais je ne terminerai certainement pas mon histoire par ils vécurent heureux, ce n’est pas une belle histoire. Je vous avertis d’avance que ma vie n’a jamais été un conte de fée... »
Chapitre 1 « Le début de mon existence »
« Je suis née un jour, comme tous les enfants de cette terre à la différence de certains, on ne me voulait pas. Mes parents croyaient dur comme fer que j’étais un garçon puisqu’ils n’ont pas demandé d’avoir le sexe de leur enfant. Ils avaient l’impression que jamais la nature allait leur donner ce qu’ils ne voulaient pas. Mes parents voulaient avoir un troisième garçon, mais j’étais une fille. Ce fût la surprise générale quand on m’a vu arrivée. Tout ce qu’ils avaient avec eux, c’était des effets pour garçon. Le trouble dans le regard de ma mère et de mon père était lisible à ce qu’il paraîtrait puisque je n’avais pas conscience encore. J’étais trop jeune pour me souvenir des visages surpris qui me regardaient. Qu’est-ce que je pouvais changer à cette âge de plus ? Rien du tout. Je ne pouvais cesser de sourire pour me faire aimer par ceux qui m’avaient donné la vie. J’étais un bébé aux yeux bleus et aux cheveux blonds, comme plusieurs enfants, mais je suis restée blonde. Ma famille ont toujours été blond du plus loin que je pouvais me souvenir. Le monde était cruel, mais est-ce qu’un être aussi jeune et innocent pouvait voir la cruauté dans ce monde ? Non. La vie est belle. Les moments sombres n’étaient que des petits monstres de rien du tout. Jamais ce monstre n’était considéré, comme aussi grand pour un jeune enfant. Oui, l’amour était le pire monstre ravageur qui pouvait exister. J’avais toujours connu une vie sans amour, donc une enfance avec ce monstre bien présent. Moi, je les aimais, mais eux ne m’aimaient pas. Je n’ai jamais compris d’où venait cette haine contre les filles, ce que je ne comprenais certainement pas, c’est pourquoi qu’on me voulait autant de mal, le jour où j’ai commencé à vivre. Le jour où on m’a montrée que l’amour n’existait pas pour moi. »
Chapitre 2. « Je n’avais pas de vie, mais j’avais deux idiots de frère »
« « Aaaaaaaïe!!!!!!!! », criai-je de toute mes forces pour qu’on m’attende pour une fois, pendant qu’on me faisait du mal encore une fois. Trop de fois, on avait voulu lui faire du mal pour un rien. Je voulais que quelqu’un vienne à ma rescousse pour une fois dans cette minable vie qu’on m’avait donnée. J’espérais que ma mère ou mon père apparaisse pour me surprendre pour une fois par rapport à des sentiments envers moi. Je rêvais qu’on me prenne pour me câliner. Je rêvais chaque nuit que ma mère ose poser son regard avec un regard doux et tendre. Non, je n’avais pas le droit à ça apparemment. J’étais abonnée au coup. Pourquoi me faisait-on du mal ? J’étais un enfant de cinq ans qui attendait un évènement quelconque qui me ferait du bien à mon cœur blessé. J’étais un enfant blessé qui ne comprenait rien à ce qui se passait dans ma vie. Je me demandais pourquoi les regards des autres parents étaient différents par rapport à leurs enfants. Pourquoi j’étais si différente ? Je ne comprenais rien. J’étais encore trop jeune pour me rendre compte de ce qui se passait, sauf que j’étais une mauvaise fille. Que j’étais méchante, j’étais le mal pour mes parents. Qu’avais-je fait ? Pourquoi mes parents ne m’aimaient pas ?
« Charly, tu vas te taire !!!!! » C’est la réponse que j’ai eu le droit. On me faisait du mal et personne ne se souciait de moi. Pourquoi j’avais le droit de souffrir autant ? Pourquoi mes frères agissaient ainsi avec moi ? Pourquoi je m’héritais ce qu’on me faisait sans que j’ai fait pour ? Je ne comprenais rien. Des larmes commencèrent à couler, quand l’un de mes frères me donna un coup de pied dans le ventre. Mon souffle s’était coupé sur le coup. Je me penchai en deux. J’avais mal, terriblement mal même. Une envie de vomir ce que j’avais mangé plus tôt au dîner me prit. C’était terriblement dur de ne pas se sauver. C’était totalement injuste de ne pouvoir jouer seule dans sa chambre sans que mes deux frères me fassent du mal dans ma chambre lorsque j’étais bien sage. C’était ce que je croyais, mais à ce que je pouvais comprendre, c’était que j’étais une vilaine personne même si je n’étais pas présente dans l’autre pièce. J’étais une personne horrible. Je voulais devenir bien pour mes parents. Je les aimais encore sans comprendre tout ce qu’on me faisait réellement. Ma mère m’avait toujours évité et je m’en comptais presque heureuse, car elle ne fixait pas de cette façon qui me terrifiait jusqu’à la moelle de mes os. Je ne pouvais la regarder droit dans les yeux sans baisser le regard ne sachant pourquoi on me regardait ainsi. Pourquoi mon père avait le poing qui fermait à chaque fois que j’approchais de lui ? Pourquoi on me repoussait quand je faisais les mêmes actions de mes frères ? J’avais toujours tenté de faire des câlins à mes parents. Parfois, je leur disais : Je suis désolée maman. Je n’avais aucune raison, mais… je croyais qu’il y avait une raison à ses mots envers ceux qui m’avaient donnée la vie. Je me redressai, finalement, reprenant mon souffle peu à peu. J’avais peur de me reprendre une claque. J’avais mal. Non seulement physiquement, mais aussi mon cœur. Pourquoi tant de souffrance par ceux que j’attendais l’amour que je n’ai jamais reçu.
« Mais maman… , pleurai-je, ils me frappent. » Mes frères étaient idiots, mais ma mère était une idiote. Elle était comme eux au fond. Comment j’ai cru que ma mère pourrait prendre une seule fois ma défense ? J’étais horrible après tout. J’étais coupable, sinon mes frères ne m’auraient pas frappé ainsi. Je ne comprenais rien du tout. La seule chose que je pouvais faire c’était de m’excuser et ce que je fis, même si je souffrais encore et toujours.
Chapitre 3. « J’ai si mal que je dois en faire aux autres »
« Ils m’énervent. Pourquoi ses gens me regardent ainsi avec leur sourire qui me tape grandement sur les nerfs ? Comment osaient-ils rire de moi quand quelqu’un me faisait du mal ? Pourquoi même ici, j’étais aussi détestée ? Pourquoi les gens aimaient-ils me voir autant souffrante ? Je les détestais. Ô que je les détestais. Savez-vous à quel point que je rêvais chaque nuit de les voir pleurer leur mère quand j’allais décider de crier plus fort qu’eux et de me montrer sous un nouveau jour. Je devais me montrer aussi idiot qu’eux. On n’avait pas le droit de me faire autant de mal quand je ne leur avais rien fait. Pourquoi les gens s’en prenaient-ils à moi ? Qu’avais-je fait pour devoir endurer chaque de ma vie ce genre de choses ? Pourquoi j’étais la seule personne à se faire persécuter par autant de gens que je n’avais jamais vu de ma vie ? Je ne comprenais pas. Pourquoi ? Il y avait tant de questions sans réponse qui me venait. J’étais fâchée contre la terre entière, mais personne ne pouvait remarquer à quel point je l’étais. La seule chose que je voulais c’est qu’on me laisse tranquille dans mon coin sans me déranger. Vous comprenez ? J’étais enragée contre tout le monde. Je n’avais pas envie qu’on me marche encore sur les pieds. Non, depuis mon entré à Poudlard, j’avais toujours montré de plus en plus les dents. C’était logique après tout, mais on me voyait comme l’enfant qu’on cachait pour son mauvais comportement. Mon père était un fonctionnaire du ministère américain, mes frères représentaient les garçons bien élevés tandis que moi je passais pour une sauvage et une mauvaise fille qu’on tentait en vain de cacher. Comment une petite Nicholls pouvait être aussi mauvaise ? Si les gens savaient… Je n’étais pas totalement la fautive de cette histoire, mais on s’en foutait, en fait les gens se foutaient réellement de ma gueule à croire les enfants chéris de mes parents. J’allais agir, comme j’aurais du agir dès le tout début, en vrai sauvage.
Preston m’énervait comme à son habitude. Il ne faisait que ça au fond de sa vie. Il aimait me faire chier, comme personne. Saviez-vous à quel point que j’aurais voulu lui en foutre une sur la gueule pour lui faire comprendre à quel point, il me tannait ? Non, j’entendais patiemment que l’occasion parfaite se présente. J’allais l’attaquer sournoisement quand il s’en attendrait le moins. C’était décidé. J’étais assise à la table de ma maison, je bricolais pour m’occuper de mon temps libre. J’avais un coffre à crayon avec un assortiment de crayon moldu, ciseau et colle. J’avais aussi des morceaux de carton que j’avais emmené dans ma valise. Il n’y avait aucune trace de parchemin. J’étais un drôle de spécimen, je l’avoue. Je ne dérangeais personne, c’était ce que j’avais encore cru, mais apparemment, on voulait encore m’emmerder profondément. Je vous l’aurais jurée que cette fois-ci j’étais prête à une attaque. J’étais à lui montrer comment je m’appelais. J’attendais patiemment que la situation où je lui ferais du mal se produirait devant mes yeux dans un éclat lumineux pour annoncer le bon moment. Je commençais à couper un morceau de cartons en silence. Je tentais de l’ignorer le mieux que je le pouvais. Il approcha dangereusement sa main vers mon coffre qui renfermait les crayons et la colle, puisque j’avais toujours ma paire de ciseau dans les mains. Je lâchai un grognement comme premier avertissement. Ça le fit que rire avec ses amis. La prochaine fois, il ne filera pas aussi facilement, je me l’étais promis. Il avait repoussé quelques instants sa main. Je regardais discrètement cette main qui s’approchait à nouveau près de moi. C’est alors que le morceau de carton tomba au sol et une longue plainte se fit entendre. Un cri de douleur. Les garçons ne riaient plus, ni personne. C’était silencieux. Du sang, beaucoup de sang coulait. Je venais de planter mes ciseaux dans la main de cet imbécile.
« la prochaine fois, tu écouteras au premier avertissement, crétin! » sifflai-je entre mes dents. Les professeurs accoururent pour secourir ce connard. Je le détestais, mais je lui avais fait comprendre une chose. Le respect ! Sauf que son regard n’indiquait que de la panique. Il était tout blanc, tandis que moi, on m’emmenait de force dans les bureaux pour me parler de ce comportement inapproprié. J’avais onze ans et je venais de prouver que dès ma première année je pouvais être quelqu’un qui tente de se faire une petite place dans ce monde cruel qui m’entourait. Il était temps, ça faisait déjà quelques mois que j’étais à Poudlard. Je devais imposer le respect envers moi par la violence, car ne personne comprenait réellement mes messages lancés. »
Chapitre 4. « Je déteste le terre entière et en particulier ma famille. Ils se foutent vraiment de moi, parce qu’ils… »
« Jamais, je n’aurais cru qu’on pourrait me laisser tranquille dans ma chambre. J’étais revenue pour noël à la maison. Je m’étais amenée quelques livres pour lire pendant ce long congé qui était pénible comme chaque année. Pourtant, cette fois-ci mon grand frère, Devan, avait organisé une fête avec l’accord de mes parents. Il avait dix-neuf ans, alors ma mère lui avait laissé assez de confiance pour partir sans être là pour surveiller. Devan avait fait la promotion de cette fête à la maison à tout Poudlard, même s’il n’était pas là, c’est mon autre frère, Marshall, qui a fait de la publicité pour cette super soirée. Moi, j’avais prévu de lire tranquille dans ma chambre malgré la musique qui montait jusqu’à ma chambre où ça faisait vibrer mon lit. J’avais fermé la porte et je m’étais installée sur mon lit prête à passer la nuit à lire ce livre. La fête résonnait toujours plus bruyamment à mes oreilles, mais je tolérais grandement. Personne ne me dérangeait, c’était bon. J’étais absorbée dans ma lecture. Je lisais, j’adorais lire. Si vous saviez, comment toute ma haine disparaissait tout d’un coup. J’étais libre totalement libre… Pourtant, ce moment était trop court avant qu’on veuille encore me déranger. Quelqu’un poussa la porte de ma chambre, je levai les yeux de mon livre pour voir qui s’était pour lui dire de sortir de ma chambre. C’était mon frère, Devan. J’ouvris la bouche, mais avant même que j’ai pu dire un mot. Il sauta sur mon livre. Je me suis reculée dans mon lit. Ce fut un réflexe que j’avais de me sauver du contact humain, surtout que je n’avais pas confiance en mes frères. Son regard était posé sur moi. Sa main droite vint m’empoigner fermement par les cheveux. Je penchai vers l’avant. Il me retourna pour que je sois placée sur le dos. Il m’emprisonna dans ses bras sous lui. Je me suis mise à hurler, comme si je pressentais que quelques choses allaient m’arriver. Je commençais à me débattre. Je voulais me sauver de la maison avant que quelques choses s’y passent. Mon frère me frappa violemment à la mâchoire. Au début je croyais m’avoir déboité ma mâchoire. Je me rendis compte malheureusement que je perdais peu à peu des vêtements. Je continuais à hurler. L’une de ses mains vint se plaquer sur mon visage. Puis tout d’un coup sentant l’air froid passé sur mon corps, je compris que j’allais vivre une situation qu’aucune personne ne voulait vivre. Il était soul. Ses mains sentaient l’alcool, mais j’avais le malheur de ne rien pouvoir faire. Je tentais pourtant de réussir à m’en sortir. Je hurlais, mais la musique couvrait ma voix. Mon frère détacha sauvagement ses pantalons avant de faire ce que je ne voulais pas vivre. Il me viola… et pour me punir – c’était ce que je croyais -, il me mordit les seins. Je saignais énormément des seins et de mon entre-jambe. Je fus violenter et laisser pour morte dans mon lit. J’attendis sa voix, elle semblait lointaine me dire de ne jamais en parler, sinon… il reviendra avec des copains. Je suis morte pour de bon. Je ne croyais plus en rien. Je ne croyais plus au destin, ni à l’amour fraternelle. Je n’avais plus d’espoir. J’étais une mal-aimé… J’étais souillée… »
........................................... ♦ say who you are, not who you wanna be.
PSEUDO ; Mawiie
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CÉLÉBRITÉ ; Kiki kannibal
CODE DU RÈGLEMENT ; - Spoiler:
destruction
PRÉSENCE ; 7 / 7 habituellement ]
COMMENTAIRE ? Ben, j'ai encore craqué ^^
Dernière édition par Charly R. Nicholls le Dim 28 Mar - 20:59, édité 16 fois |
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Charly R. Nicholls Messages : 19
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| | Sujet: Re: Charly R. Nicholls. Sam 27 Mar - 0:13 | |
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Nolhan E. Sveinsson destroyed boy give my gun. i play. and i die. Messages : 385
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| | Sujet: Re: Charly R. Nicholls. Sam 27 Mar - 0:18 | |
| biiiiiiiiiiiiiiiiiiienvenuuuuuuuue mawiie. avec cha' en plus trop trop bien  je te réserve kiki pour une semaine. bon courage pour ta fiche 
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Anthea J. Brandt-Storm bitch as witch. hurricanes & butterflies are dancing in my head. Messages : 171
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| | Sujet: Re: Charly R. Nicholls. Sam 27 Mar - 0:20 | |
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Dernière édition par Anthea J. Brandt-Storm le Sam 27 Mar - 0:24, édité 1 fois |
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Innocence K. Whealer Messages : 101
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Musique : tradind yesterday __ shattered
| | Sujet: Re: Charly R. Nicholls. Sam 27 Mar - 0:23 | |
| Bienvenue parmis nous Mawiiiiiie =D |
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Charly R. Nicholls Messages : 19
Date d'inscription : 26/03/2010
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| | Sujet: Re: Charly R. Nicholls. Sam 27 Mar - 0:29 | |
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Phoenix E. Fergesson Messages : 25
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Charly R. Nicholls Messages : 19
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| | Sujet: Re: Charly R. Nicholls. Sam 27 Mar - 0:49 | |
| Anthea - Nybar est mort, maintenant c'est la sauvage (a) Tenshi : Au pied *sbaff* |
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Charly R. Nicholls Messages : 19
Date d'inscription : 26/03/2010
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| | Sujet: Re: Charly R. Nicholls. Dim 28 Mar - 21:00 | |
| Je crois que j'ai fini, même si c'est court. Si vous vouliez que j'allonge. je suis prête à rajouter un chapitre de plus ^^ |
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Nolhan E. Sveinsson destroyed boy give my gun. i play. and i die. Messages : 385
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| | Sujet: Re: Charly R. Nicholls. Lun 29 Mar - 20:30 | |
| a fiche était agréable à lire . mais attention à quelques fautes de syntaxe qui rende difficile la lecture par moment. tout est en ordre.
bienvenue à serpentard Choix très difficile. Fille compliquée à cerner. Mystérieuse. Etrange. Réservée. Tu as un fort potentiel. Tu aimes les livres. Ton histoire est dure et personne n'a pu te protéger. Tu as un caractère impulsif et sauvage. Tu ne veux plus te laisser faire. Tu veux qu'on te respecte. Un fort caractère qui pourtant n'a jamais réussi à se faire respecter en famille. Pour toi la violence est la seule issue. Fais attention à ne pas te perdre sur un chantier si sinueux. . .
amuse toi bien sur re*. n'hésite pas à faire ta fiche de lien et d'aller sur la box et le flood. l'intégration est bien plus facile ainsi. |
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