| | adonis maël mcgrégor •shadows fill an empty heart as love is fading | |
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Adonis M. McGrégor Messages : 58 Date d'inscription : 26/03/2010 Pseudo : tim Crédit : ♥ Musique : soon
| Sujet: adonis maël mcgrégor •shadows fill an empty heart as love is fading Sam 27 Mar - 0:07 | |
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♦ say who you are, not who you wanna be. PSEUDO ; timothé/tim, november sur imperium et tristaniel sur stairway, voilà AGE ; quinze ans CÉLÉBRITÉ ; francisco lachowski CODE DU RÈGLEMENT ; destruction PRÉSENCE ; tous les jours normalement, je n'ai pas d'amis et j'aime pas l'école sauf les jours à venir à cause de mon trip to england COMMENTAIRE ? je vous aimes déjà , ce forum est sublimement fantasmagorique fichedeprésentation mcgrégormaël ...........................................adonis.
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♦ no one is going to save you.
Arrachez moi le cœur, le cerveau, les entrailles. Je ne veux plus penser, je ne veux plus aimer, je veux que mon nom sonne comme un glas à chaque syllabe, qu’Adonis Maël McGrégor soit aussi craint que le serait un dégénéré. Je veux être de ces êtres sans foi ni loi, ni sentiment. Car l’amour conduit à la compassion et la compassion est une faiblesse. Je ne veux plus croire en personne, je veux juste oublier et semer le trouble sur mon passage. Je vous fais peur, je vous déstabilise ? C’est bien, c’est ce que je voulais, et ça me soulage.
Je m’appelle Adonis. J’aimerais que vos informations sur ma personne ne se résument qu’à ce simple prénom, mais malheureusement il est dur de cerner toute l'ambigüité d'une existence sans quelques formalités. Il est hautement déconseillé de l’avouer à voix haute, d’autant plus en ces temps de trouble mais je n’en ai jamais eu honte, je suis bien de sang mêlé, d’un sorcier irlandais et d’une née moldu anglaise. Scolarisé à poudlard depuis sept ans, je n’entame pourtant que ma sixième année, longue histoire que je ne développerais pas dans la foulée. Vous l’aurez alors surement deviné, à moins que mon opinion sur vos facultés intellectuelles soit fondée, j’ai vingt et un ans. Certains disent que c’est un âge à l’expérimentation, à la découverte et pourtant, sans aucune prétention, j’ai vécu plus que vous n’oseriez l’imaginer. Expérimentation. C’est alors sans honte que je revendique mon attirance pour les deux sexes. Ne vous méprenez pas, je ne suis pas là pour m’attacher, les plaisirs de la chairs me consolent simplement d’une existence tellement plus monotone. Homme ou femme, peu m’importe. On me dit bisexuel, je me qualifierais plus d’indifférent. Le monde se fout de moi et je lui rends bien, j’en abuse et j’ose prétendre que je m’en complais. Tout ceci vous importe peu, je le lis dans vos iris. Ça ne m’étonne pas tant que ça finalement.
Un niveau scolaire flanchant entre le bon et le minable selon les matières, je n'ai aucun don particulier qui fasse de moi quelqu'un d'à part. J'évolue dans la maison Serpentard (ou autre, c'est vraiment au pif) depuis déjà six années sans jamais m'y être senti à l'aise. Magie blanche, magie noire? Tout cela ne reste-t-il pas de la magie ? Dans tous les cas, notre préférence quel qu'elle soit ne nous permet pas de pouvoir choisir et je ne me préoccupe pas vraiment de ce genre de futilité. Ça me dépasse. Ma baguette, longue de trente-trois centimètres, en bois de lierre composée d'un crin de licorne, produit un patronus sous la forme d'un magnifique lynx. Pourtant, celui-ci ne me protège en aucun cas des épouvantards, le mien représentant ma sœur à la seconde où la mort est venue la faucher de plein fouet.
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........................................... ♦ you must l(ea)ive your life.
cette fiche est une fiche qui doit être rédigée sous forme de rp. vous devez écrire au minimum trois anecdotes de vie sur votre personnage, en essayant de faire apparaitre son caractère, ses influences, et nombre de détails à propos de son histoire personnelle, afin de nous aider à mieux le cerner. le nombre d'anecdotes est illimité, mais tâcher de finir votre fiche dans les temps. nous rappelons que les anecdotes doivent faire un minimum de trente lignes chacunes.
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Dernière édition par Adonis M. McGrégor le Mer 7 Avr - 19:27, édité 15 fois |
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Adonis M. McGrégor Messages : 58 Date d'inscription : 26/03/2010 Pseudo : tim Crédit : ♥ Musique : soon
| Sujet: Re: adonis maël mcgrégor •shadows fill an empty heart as love is fading Sam 27 Mar - 0:07 | |
| the stars, the moon, they have all been blown out Je lâche soudainement la poupée de porcelaine que je tiens entre mes doigts. Elle s’écrase alors en une fraction de seconde sur le sol, se brisant par endroit, laissant à mes pieds une trainée de boucle d’or. Je reste figé, crisper, tremblant, hagard. Je me sens perdre pied, fixe ces iris vitreux sans ciller et son image apparaît subitement face à moi. Elle ne me sourit pas, elle est pâle, très pâle. Trop pâle. Ça m’effraie, je sens que je vais pleurer, que mon cœur va bientôt venir border mes lèvres, que ma tête risque d’exploser. J’ai envie de m’arracher les yeux tant la sensation m'est insupportable. Elle me contemple alors, les bras le long du corps. Elle esquisse un pas, je sens mon cœur accélérer la cadence. Je tente d’inspirer une bouffée d’air, mais la moiteur de celle-ci n’emplit pas mes poumons. J’étouffe, j’hoquète et je ne vois plus que sa silhouette, trouble à travers ce rideau de larmes. Son souffle chaud vient rencontrer alors le mien. J’ai l’impression de défaillir tandis que ses doigts glissent sur mes lèvres entre-ouvertes. « Sephy .. Ô sephy pardonnes-moi pour tout, pour maman, pour ce que je n’ai pas fais, pour ne pas t’avoir protégé suffisamment, pour… » Son sourire couvre mes gémissements. Elle dépose ses lèvres sur ma joue, laisse celles-ci papillonner contre ma peau. Je soupir et ferme les yeux, savourant ce moment, cette odeur qui n’appartient qu’à elle et que j’ai sans cesse peur d’oublier. Je plonge mon nez dans ses cheveux, y passe ma main suavement. Elle se détache alors de moi, étincelante au soleil brûlant et dans un dernier rictus, lâche ma main qu’elle caressait du bout des doigts, pour s’éloigner. Son spectre disparaît, enfin. C’est fini, et mes genoux se permettent alors de rencontrer le sol tandis que mon souffle, haletant, hurle son prénom. you left me in the dark
Perséphone est morte durant l'été 2006. C'était une de ces journées où le soleil tapait sur les fronts ardemment, effervescent. J'avais dix-sept ans et encore cet optimisme qui caractérise si bien l'enfance. Ma sœur venait de prendre sa dix-huitième année et s'entraînait sans relâche dans notre jardin de campagne anglaise. Elle voulait être la meilleure de son année, de sa maison même, motivée par la volonté de réussir aussi brillamment qu'avaient réussi nos parents. Nous étions tous deux très proches, même si nos aspirations futures dérivaient les unes des autres. La preuve en était qu'elle avait rejoint les gryffondors, tout comme le reste de ma famille. J'étais un serpentard. C'est pourquoi ma hantise avait été, durant de nombreux mois avant ma première rentrée à Poudlard, de ne pas parvenir à rejoindre les lions. Cela ne me faisait ni chaud ni froid désormais, et je me sentais à l'aise chez les verts et argents. Ma sœur était une jolie fille. De cette beauté que chacun savoure dés qu'il ose y poser les yeux. Elle avait de longs cheveux blonds qui se dérobaient en cascade le long de la courbure de son dos. Son visage poupon respirait la chaleur et la bienveillance. Enfaite, seuls nos yeux étaient semblables, d'un brun intense, obscure. Nous étions en tout point opposés, et pourtant un lien consubstantiel nous liait. Elle me complétait, me conseillait, c’était un besoin de la savoir près de moi, ma sœur était mon tout à vrai dire, bien plus qu’une simple amie.
Le cottage et son jardin baignait dans une apaisante chaleur ce jour-là. Allongé dans le gazon sec, j’écoutais d’une oreille distraite les jérémiades de ma grande sœur. A vrai dire, je ne savais sur qui me concentrer entre Sephy qui tentait vainement depuis une demi-heure de stupéfixer l’auror qu’était mon père, et l’adorable jeune fille allongée à mes côtés. J’étais encore à l’époque de ces adolescents banaux, une petite-amie dans une main, une famille unie dans l’autre, les problèmes hauts au dessus de mon crâne et un sourire paisible au coin des lèvres. Prélude à la déchéance, vraisemblablement. Non non non et non Perséphone. Concentres toi bon sang, je te l’ai dis et répété, plus vif le mouvement du poignet. On dirait un bras cassé ! Sephy jura, elle détestait que notre père la reprenne ainsi. A vrai dire, elle détestait que quiconque la reprenne dans son travail, ses dires ou sa façon d’être. Elle se mit alors à fixer notre paternel, déterminée à le faire tomber pour de bon, et dans un mouvement ample mais vif du poignet, pointa sa baguette en direction de son abdomen en hurlant un stupéfix à faire fuir n’importe quel volatile sur le champ. Le rais de lumière rougeâtre fusa ainsi vers ce dernier, avant de se faire minablement irradier d’un coup de baguette maitrisé. Le teint de ma sœur se décolora aussitôt, passant du blanc cachet d’aspirine à l’écarlate, se délavant sur le violet aubergine. Ça m’énerve, je laisse tomber ! Elle rangea rageusement sa baguette dans son jean avant de s’éloigner d’un pas d’officier vers notre cottage, furibonde. Mon père se mit alors à rire, s’épongeant le front, en aucun cas exténué. Je fis pivoter mon visage vers Liam, étendue à mes côtés, et fus surpris de croiser aussitôt ses iris bleutées. Elle esquissa un sourire en coin, se penchant doucement en ma direction avant d’écraser ses lèvres vermillon contre les miennes, une main sur ma nuque. Nullement surpris, je lui rendis son baiser avec plus d’entrain, me couchant sur elle, indifférant de la présence de mon paternel. Elle souffla alors, m’arrêtant d’une main et, interloqué, je me redressai sans lâcher sa bouche du regard. Un problème ? C’est l’heure, je dois partir Adonis.. Un soupir audible s’échappa d’entre mes lèvres tandis que je me relevais, époussetant mon jean, contrarié. Elle ne cessait de me fixer, encore étendue dans l’herbe, et je saisissais aussitôt son bras pour la redresser face à moi. Tu es sûr que tu ne veux pas rester encore un peu ? Je risque déjà ma peau en venant ici Adonis, je ne vais pas tenter le diable en restant quelques minutes de plus simplement pour tes beaux yeux. Je claquai la langue contre mon palet de frustration et tendis ma main vers la sienne, celant nos doigts fermement. Bon, je t’accompagne jusque la cheminée alors. Silence. Désolée. Tu n’as pas à t'excuser de l’avoir pour mère. Elle sourit alors tristement et, honteux de mon comportement, je déposai aussitôt mes lèvres contre son front.
Nous étions tous les deux assis dans ce fauteuil miteux qui pouvait à peine nous contenir réunit. C’était comme une sorte de rituel, et malgré l’énorme canapé qui se postait à nos côtés, nous avions toujours préféré nous installer dans son voisin quand venait le soir. Mes parents étaient des aurors respectables, ils avaient suivi de brillantes études et beaucoup les qualifiaient généralement comme arme du ministère. Personne n’échappait à leur baguette, comme des loups, ils étaient vénérés par les « bons », craint par les plus obscures. Je les admirais, car malgré l’horreur et la folie qu’ils côtoyaient au quotidien, ils parvenaient à rester ces êtres bons et loyaux, attentionnés. C’est pourquoi ils essayaient, notamment durant les périodes de vacances, de se montrer présents et protecteurs envers nous. Car même si nous étions à l’abri dans notre école, le cottage se révélait être un lieu beaucoup moins sûr, la preuve vint ce soir-là. Il planait dans l’atmosphère cette moiteur rassurante, la chaleur emplissait la pièce et notre porte fenêtre, grande ouverte sur le jardin, laissait entrevoir le bosquet de bouleaux au loin, calme. Rien ne laissait présager ce rais de lumière rouge qui vint soudain briser la sérénité de notre foyer. Fusant sous nos yeux, il était venu s’écraser dans un cadre derrière ma sœur et moi, le faisant voler en éclat. Sephy avait hurlé, d’un cri strident et appauré, tandis que nos parents se précipitaient dans notre salon, baguettes pointées face à eux. Un frisson glacial était alors venu habiter la pièce tandis que trois ou quatre hommes, camouflés sous d’épaisses capes sombres, faisaient soudainement irruption de chacune des issues. Entourés, piégés, les événements avaient pris alors une tournure que sur le moment même, je ne parvenais pas à suivre. Tout allait trop vite, des rais de couleurs bondissaient des baguettes, s’éclataient sur nos murs, et Sephy et moi étions accroupis derrière notre fauteuil, terrifiés. Ma mère poussait des gémissements de rage, mon père ne cessait de s’entrechoquer à nos meubles et le cottage pourtant si idyllique revêtait une apparence apocalyptique. J’avais tiré ma baguette de ma poche, sentant que mes parents étaient en difficulté, suivit par ma sœur. Nous avions ainsi émergé de derrière le fauteuil, arme en main, prêt à combattre. Malheureusement, l’un des sorciers nous avait repérés et c’était aussitôt mis à nous attaquer de toute sorte de sort que l’intensité trop forte ne nous permettait pas de combattre. Ma mère, qui suivait les actions de ce sorcier de près, c’était alors interposée entre lui et nous, jusqu’à ce qu’un avaka kedavra fuse de la baguette de celui-ci. Elle eut ce mouvement de recul que je ne parviendrais jamais à oublier, ce mouvement qui avait fait filer le sort sous son nez, le faisant s’abattre dans la poitrine de ma sœur, en plein cœur. Et à ce moment tout se ralentit enfin, et ses cheveux vanilles que j’aimais tant s’étalaient déjà à mes pieds, encadrant son magnifique visage que la vie venait de quitter. C’est peut-être à ce moment que je sentis tout espoir, optimisme ou illusion en la vie me quitter. L’admiration sans faille que je vouais à mes parents c’était alors évanouie, aussitôt remplacée par une haine fourbe et glaciale, envers eux, mais envers ma mère surtout. Car elle l’avait sacrifiée de ce simple geste, elle avait sacrifié sa propre fille en voulant sauver sa peau, et que par sa faute Sephy ne reviendrait plus jamais, plus jamais.
Dernière édition par Adonis M. McGrégor le Sam 24 Avr - 12:08, édité 10 fois |
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Adonis M. McGrégor Messages : 58 Date d'inscription : 26/03/2010 Pseudo : tim Crédit : ♥ Musique : soon
| Sujet: Re: adonis maël mcgrégor •shadows fill an empty heart as love is fading Sam 27 Mar - 0:07 | |
| Console me in my darkest hour D’une ironie presque agaçante, nous étions tous réunis sous un soleil de plomb pour faire nos adieux à Sephy. La transpiration coulait sur les visages tout comme mes larmes qui dévalaient sur mes joues. C’était insoutenable, autant pour moi que pour mes parents qui se lamentaient sur le tragique destin de leur fille prodige. Destin qu’ils avaient eux-mêmes provoqués. Je leur en voulais, d’une rancœur farouche, omniprésente, obstruant un quelconque autre sentiment. A vrai dire, je leur en voulais tous. Le monde, la mort qui avait arraché ma sœur à moi, ces sorciers, ces hommes et ces femmes. Les autres. J’avais besoin d’un coupable, je devais déverser ma haine sur quelqu’un, un individu quel qu’il soit. Je souffrais profondément, mon cœur me faisait atrocement mal, comme une plaie qui ne parvenait pas à cicatriser sur celui-ci. Je ne parvenais pas à les comprendre, et j’étais intimement convaincu que plus jamais je ne serais compris. J’en venais à haïr les êtres les plus chers à mon existence. Liam. Liam qui n’était pas là pour me tenir la main. Liam qui était sans arrêt aux prises avec ma mère. Liam qui m’agaçait tant, Liam que je ne parvenais plus à aimer. Liam et Duncan. Je vouais une admiration sans faille à mon cousin depuis qu’ensemble, nous rasions l’herbe à toute vitesse sur nos balais pour enfants, à peine plus haut que trois pommes. Il me tenait la main, il était triste lui aussi, et pourtant je n’avais qu’une envie, une seule. Qu’ils foutent tous le camp après que j’ai craché à leurs pieds. And tell me that you always hear my cries
Ils avaient finalement tous foutu le camp, comme je le désirais. Duncan m’avait d’abord longuement serré dans ses bras avant de partir, sa joue contre la mienne. Ca m’avait fait bizarre car mon cousin n’était pas des plus affectueux à son habitude. Je ne réagissais pas sur le coup, exténué. Mes parents m’avaient alors entrainé vers un portoloin afin de quitter ce cimetière pour de bon. Et, sans un regard vers la tombe où reposait Sephy, je me laissais tirer par cette sensation si particulière que provoquait ce moyen de transport dans le creux de mon nombril avant de débouler dans notre salon que quelques jours de travaux avaient remis à neuf. Ma mère s’était mise à pleurer aussitôt entre ses mains, assise sur notre canapé. Je savais qu’elle pleurait beaucoup, la culpabilité la rongeait autant que mon père. Je me disais qu’elle ne méritait que cela, j’avais peut-être tort car elle avait simplement cherché à s’écarter sans songer que sa fille se tiendrait derrière elle. Elle en deviendrait folle. J’haussais un sourcil avant de monter dans ma chambre. Elle était plongée dans la pénombre, m’étouffant d’autant plus que la cravate noire qui était nouée autour de mon cou. J’avais envie de fondre en larmes, je sentais de nouvelles gouttes border mes cils lorsque soudainement, le bruit propre à la cheminette retentit dans mon dos tandis que Liam et ses cheveux blonds apparaissaient dans la cheminé de la pièce. Elle avait chassé les longues gerbes de fumées vertes qui couraient sur sa jupe avant de poser son regard d’eau sur mon visage tordu. J’ai pensé que c’était trop tôt, mais je ne pouvais pas me résoudre à te laisser seul. Comme je ne répondais pas, elle s’était approchée de moi, les lèvres serrées. Je suis désolée de ne pas être venue, encore et encore. Elle avait posé ses mains sur ma poitrine, glissant celle-ci sur mes épaules, mon cou. Et moi je gardais le silence, j’avais envie d’exploser en sanglot. Je ne voulais pas être faible, pas face à elle, d’autant plus lorsque j’essayais de me convaincre que je ne l’aimais plus, elle et ses lèvres carmins. Tu n’es pas obligé de parler Ado. J’inspirais, à bout. Liam, je voudrais que tu partes. Elle avait ouvert sa bouche, et pourtant aucun son ne s’y échappait. Je ne comprends pas. Je voudrais que tu t’en ailles par cette cheminée, que tu t’en ailles et que tu ne reviennes plus. Mais... pourquoi ? J’ai baissé la tête. Je me suis rendu compte que je ne t’aimais plus, que tu ne m’aiderais pas et que tu n’étais pas celle qu’il me fallait. Tu … Tu ne m’aimes plus ? Elle posa sa main sur sa poitrine, la respiration haletante. Mais … je ne comprends pas, je t’aiderais Adonis, et même si tu ne te sens plus de m’aimer pour l’instant, j’attendrais, je serais patiente ! Vas-t-en Liam. Je tendis alors mon poignet vers elle, mettant en évidence sous son regard l’emplacement du bracelet qu’elle m’avait un jour offert, aujourd’hui vide. Tant que tu porteras ce bracelet, tu sauras à quel point je t’aime et je te suivrais partout où tu iras, partout dans ton coeur. Ce geste avait dû la concertée aussitôt dans mon choix, car elle s’était reculée en gémissant vers la cheminée. Une larme a roulé sur ma joue. J’étais lâche, profondément lâche, mais je voulais croire que tout ça, je le voulais, intimement. I'm sure it was the consolation prize
Dernière édition par Adonis M. McGrégor le Sam 24 Avr - 20:06, édité 5 fois |
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Adonis M. McGrégor Messages : 58 Date d'inscription : 26/03/2010 Pseudo : tim Crédit : ♥ Musique : soon
| Sujet: Re: adonis maël mcgrégor •shadows fill an empty heart as love is fading Sam 27 Mar - 0:08 | |
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Dernière édition par Adonis M. McGrégor le Sam 24 Avr - 12:17, édité 1 fois |
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Adonis M. McGrégor Messages : 58 Date d'inscription : 26/03/2010 Pseudo : tim Crédit : ♥ Musique : soon
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Anthea J. Brandt-Storm bitch as witch. hurricanes & butterflies are dancing in my head. Messages : 171 Date d'inscription : 11/02/2010 Pseudo : shapeless heart. Crédit : beatnik beast. Musique : ♫ marie ou marilyn ▬ saez.
WIZARD âge: sexualité: informations:
| Sujet: Re: adonis maël mcgrégor •shadows fill an empty heart as love is fading Sam 27 Mar - 0:10 | |
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Adonis M. McGrégor Messages : 58 Date d'inscription : 26/03/2010 Pseudo : tim Crédit : ♥ Musique : soon
| Sujet: Re: adonis maël mcgrégor •shadows fill an empty heart as love is fading Sam 27 Mar - 0:12 | |
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Anthea J. Brandt-Storm bitch as witch. hurricanes & butterflies are dancing in my head. Messages : 171 Date d'inscription : 11/02/2010 Pseudo : shapeless heart. Crédit : beatnik beast. Musique : ♫ marie ou marilyn ▬ saez.
WIZARD âge: sexualité: informations:
| Sujet: Re: adonis maël mcgrégor •shadows fill an empty heart as love is fading Sam 27 Mar - 0:15 | |
| *le viole... sur le sol, sur le canapé, sur le lit, contre un mur, dans les toilettes, sous la douche, sur la photocopieuse, dans l'herbe, dans le sable, contre un arbre, sur une table...* |
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Adonis M. McGrégor Messages : 58 Date d'inscription : 26/03/2010 Pseudo : tim Crédit : ♥ Musique : soon
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Innocence K. Whealer Messages : 101 Date d'inscription : 30/12/2009 Pseudo : Tine Crédit : oasis ♥ Musique : tradind yesterday __ shattered
| Sujet: Re: adonis maël mcgrégor •shadows fill an empty heart as love is fading Sam 27 Mar - 0:19 | |
| Bienvenue parmis nous Adonis |
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Adonis M. McGrégor Messages : 58 Date d'inscription : 26/03/2010 Pseudo : tim Crédit : ♥ Musique : soon
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Innocence K. Whealer Messages : 101 Date d'inscription : 30/12/2009 Pseudo : Tine Crédit : oasis ♥ Musique : tradind yesterday __ shattered
| Sujet: Re: adonis maël mcgrégor •shadows fill an empty heart as love is fading Sam 27 Mar - 0:26 | |
| Oui oui je sais je suis unique (aa) Ahahaha pour la question d'innocence...Qui sait... (aa) |
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Nolhan E. Sveinsson destroyed boy give my gun. i play. and i die. Messages : 385 Date d'inscription : 30/12/2009 Age : 33 Pseudo : oasis Crédit : shapeless.heart Musique : je veux qu'on baise sur ma tombe ▬ saez.
WIZARD âge: nineteen y.o. sexualité: everything. informations:
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Liam a. Nephtys Messages : 31 Date d'inscription : 26/03/2010 Age : 30 Pseudo : say' ; sixtyn. Crédit : beatnik.beast Musique : 30stm ▬ this is war.
| Sujet: Re: adonis maël mcgrégor •shadows fill an empty heart as love is fading Jeu 8 Avr - 20:31 | |
| genre. toi. toi. toi. adoooooo(..)ooonis ♥c'est un crime, parce que j'ai pas le temps d'écrire plus. tu m'en veux pas, hein, dis ? j'espère. parce que voilà, j'ai envie d'immortaliser ce que je viens de te dire sur msn. « toi tu est le PREMIER, le MEILLEUR, le BAPTISEUR, tu es TOI et c'est déjà beaucoup trop pour mon petit coeur d'artichaud ( ) et en plus tu es UN DIEU ( au lit et en général ) quand tu ne te transforme pas en ours des cavernes près à me manger toute crue dès que je fais une feinte débile .. -> tu vois, c'est très, très, très ( ! ) différent des autres () » et voilà, c'est tout tout tout ce que j'ai le temps d'écrire, enfin je pense. parce que mon sac est genre pas près du tout, et que je vais partir. d'ailleurs ça me fait penser ; j'ai plus envie de partir. enfin je sais pas. l'étendue de toutes les choses que "je ne sais pas" m'ébahis constamment, c'est consternant. --" mais bref, passons. parce que je veux de l'avancement pour dans deux jours, que je veux des messages d'amours, des mp toutes les minutes, et environs quinze milles câlins télépathiques. genre pour les câlins, je t'en ferai aussi, le reste sera plus dur vu que j'aurai pas de pc. mais chut. ta fiche elle va être du feu de dieu, ne nie pas. et pour une fois, crois en ce que je dis. sinon, je frappe. quoi que non. frapper, vu ton caractère, ça te ferai plaisir. donc si tu me crois pas : plus de câlins ! bon, déjà, t'imagines comment je vais être en manque, alors tu vas pas me faire ça hein donc tu avances, tu avances, tu trouves ton inspiration - d'ailleurs je te prêtes la mienne le temps de mon absence - et puis voilà, tu gère. oh et je sais je pars pas longtemps, mais ça m'occupe d'écrire comme ça. à croire que, finalement, j'avais le temps d'écrire plus. un roman. j'ai écris un roman ( ! ). c'est dingue. well. je suis dingue aussi. et liam aussi. mais je m'aime quand même. ( zbaf) oh, et oui ; prends une aspirine ! tu as tout le temps mal à la tête, c'est incroyable. et n'oublies pas de changer de chaussette et de slip demain
hop hop. je dois y aller. enfin pas encore, mais bientôt. et je dois terminer mon sac. donc, ombre de mon coeur, je réclame une suite à cette fiche pour mon retour, s'il te plais. merci. oh et tu seras gentil de ne pas te vanter devant moi de tes ébats avec les nouvelles sur la CB lorsque je reviendrai .. j'ai foi en toi, mais je serais mesquine de te demander de me jurer que tu ne fera pas de bêtises, parce qu'après tout, tu ne serais plus toi si tu le faisais. so .. protège toi, sors couvert, et enterre ça dans un coin de mon retour après demain matin, ou tu verras à quel point je peux être méchante. ( damn, si je pouvais avoir autant d'inspiration pour ma fiche, elle serait déjà finie ! )
sur ce, je m'en vais en guerre, et te laisse avec cette trace de mon égarement mental
PS ;
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| Sujet: Re: adonis maël mcgrégor •shadows fill an empty heart as love is fading | |
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| | | | adonis maël mcgrégor •shadows fill an empty heart as love is fading | |
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