♦ no one is going to save you. ariane…non pas comme la déesse grecque, inculte, elle s’était diane. diane ou arthémis est l’une des divinités que j’aime le plus. pourquoi ? pour son indépendance, sa maîtrise des arts. ariane veut dire en grec : "sacré". alors que muse signifie plutôt penser, s’exalter et désirer. j’aime mon deuxième prénom qui, je trouve, me correspond parfaitement. j'ai dix-neuf ans, je suis en cinquième année et ouais, je suis britannique. comment en douter après avoir vus mon nom de famille. qu'est-ce qui peut-être être plus british que roberts comme nom de famille ? britannique et riche, et je descends d'une longue lignée de sang pur, comme tu l'as surement compris. mon "orientation sexuelle" ? tu veux aussi que je te donne le nombre de mes partenaires sexuels de ces dernières années, peut-être ? ah ouf heureusement, sinon je n'aurai pas assez de doigts pour en faire le compte. nympho, moi ? ouais et alors ? je suis heureuse comme ça, j'aime les hommes et je ne veux pas me limiter à un seul. tu as un problème avec ça ? je préfére...

♦ say who you are, not who you wanna be.


PSEUDO ; wildstrawberries
AGE ; dix-sept ans
CÉLÉBRITÉ ; rachel bilson
CODE DU RÈGLEMENT ;

Spoiler:

PRÉSENCE ; (5 sur 7)
COMMENTAIRE ? encore moi ? (aa)

PREMIERE ANECDOTE – little girl doesn't have much, she walks with a smile, she's so full of life... ♪

it's time to be a big girl now and big girls don't cry. ♪ ma poupée charlotte dans les bras, je mets en place une merveilleuse réception entre mes autres nounours. je les ai placé à un endroit stratégique de ma petite table pour prendre le thé. j'imagine. je me crée un monde. une vie mondaine dont je suis l'invitée d'honneur. j'ai huit ans et il fait assez beau aujourd'hui pour dresser ma table afin de prendre le thé. alors que je suis absorbée par mon imagination, une main se posa délicatement sur mes cheveux bruns. ce contact froid avec cette main me fit sursauter et frissonner par la même occasion. aria, ma chérie, ton papa ne viendra pas diner ce soir. il a encore été retenu pour une opération à ste mangouste. cette voix, je ne la connais que trop bien. madeleine, qui est depuis maintenant un an ma "nounou" ou gouvernante. un an qu'elle essayait tant bien que mal de remplacer maman et combler l'absence de papa. maman, elle, a suivis la belle lumière en février dernier après de long mois de souffrance. oui, elle souffrait d'une "maladie incurable", comme avait dit papa, avec d'autres mots très complexe qu'il utilise pour son travail, mais que je ne comprends pas. il est toujours retenu par ses patients de toute façon...qu'est-ce qu'on mange ? madeleine caresse doucement ma chevelure et un doux sourire triste se déssine sur son beau visage. d'origine espagnole, je lui envie sa belle couleur métisse et ses grands yeux chocolats. tout chez elle était doux et bienveillant. même si elle ne pourrait jamais remplacer maman, je ne peux pas rêver mieux comme nounou. manger ? mais il n'est que dix-sept heures, aria ! je peux te préparer une tartine de chocolat, mais tu ne mangeras qu'à vingt heures... je ne peux pas m'empêcher de faire une petite moue boudeuse. oui, je suis très capricieuse. en même temps, je suis l'enfant unique d'une riche famille de sorcier, alors tout s'explique, non ? je ne manque jamais de rien et ce que je désire, je l'obtiens dans le moment. on m'a toujours élevé comme ça, ce n'est pas ma faute. je lui tourne le dos et croise les bras sur ma poitrine. je sais qu'elle n'aime pas quand je lui fais la tête. personne n'arrive longtemps à me punir. avec ma petite bouille d'ange, on me laisse passer presque tout et on ne m'a jamais vraiment punis. je sais que si je continus à faire cette petite moue triste, elle cédera, comme toujours. je patiente. je l'entends soupirer. elle doit faire mes quatre volontés si elle veut garder ce travail, très, très bien payé. un gratin te conviendrait ? toujours dos à elle, un sourire satisfait illumine mon visage. un sourire machiavélique qui s'efface dès que je me retourne vers elle pour afficher une expression neutre. j'hoche la tête en réponse à sa question. je parle très peu, elle le sait. je ne parle jamais pour rien dire, je ne m'éparpille jamais. madeleine se dirige vers la cuisine. pendant qu'elle prépare le diner, j'en profite pour ranger mes poupées et mes peluches. une fois cette tache accomplie, je me dirige à mon tour vers la cuisine. elle s'agite entre les louches et les casseroles. une bonne odeur s'échappe des plats et me donne l'eau à la bouche. j'ai l'envie soudaine de prendre mes couverts, de frapper la table en cadence en chantant "j'ai faim, j'ai faim !". petite peste comme je le suis, je cède à cette envie. elle se retourne une main sur la hanche, en essayant de prendre un air supérieur pour m'intimer le silence. prendre un air supérieur avec moi, c'est voué à l'echec. j'ai une trop haute opinion de moi-même pour me soumettre à quelqu'un. irrespectueuse, ingérable, voilà comment je suis. pourtant je me tais, ce qui a l'air de la surprendre, mais elle retourne tout de suite à ses fourneaux. mmmmh, le repas est enfin prêt. miam miam. je me trémousse pour ma chaise en la voyant ramener mon assiette à table. après plusieurs minutes de dégustation, je sens le regard insistant de madeleine sur moi. je la regarde droit dans les yeux sans baisser mon regard. “everything is gonna be alright!” i said: “nothing is gonna be alright, but thank you anyway” ♪ qu'a-t-elle ? qu'est-ce qu'il lui prend ? je sens qu'elle a envie de me parler de quelque chose, mais je n'arrive pas à savoir quoi. je sais pourquoi tu es comme ça, aria... *comme quoi ?* pensais-je avec surprise et incompréhension. ...tu recherches une certaine attention, c'est ça ? depuis la mort de ta maman, n'est-ce pas ? quoi ? elle me parle de maman ? un sujet tabou que je ne désire parler à personne et j'ai tendance à très, très vite me mettre en colère quand on me parle d'elle. elle, ma douce maman, qui me manque énormément. mais de quel droit tu te permets de me parler de maman ? qui es-tu après tout ? juste la bonne, alors restes à ta place. dis-je avec hargne. je ne supporte pas qu'elle en parle. surtout qu'elle ne fait pas partie de ma famille. je ne veux pas en parler... tu es bien heureuse de toute manière. tu as un boulot qui est loin d'être dur pour un salaire très confortable, non ? alors fais ton boulot et lâches moi ! je me lève, pose mon assiette dans l'évier et je grimpe les escaliers quatre à quatre pour accèder à ma chambre. un seul remède pour apaiser les tensions : le piano. mes doigts fins posés sur les touches se baladaient. au rythme de la musique, des larmes coulaient le long de mes joues. le son étouffait mes sanglots. jamais je n'aurai osé pleurer devant quelqu'un. je n'avais même pas pleuré à l'enterrement de maman. pourtant qu'est-ce que ça avait pu me faire mal de la voir dans ce cercueil. sans le vouloir, madeleine avait remué le couteau dans une plaie qui était loin d'être cicatrisée. je m'appelle ariane muse roberts, j'ai huit ans et ma vie - malgré les apparences - est loin d'être un conte de fée.

DEUXIEME ANECDOTE – the innocent can never last. wake me up when september ends ♪

made me think that reality is not where i want to be. ♪ le vent ébouriffe ma chevelure bouclée. je ferme les yeux et inspire longuement. j'ai seize ans et c'est les grandes vacances. dans un mois je reprendrai le chemin de la voie 9¾, mais pour l'instant j'en profite pleinement. voilà maintenant deux semaines que je suis en Grèce, chez norman, un ami de ma cousine. je ne le connais que de vue, mais il a bien voulu que wendy m'emmène avec eux. comment refuser de passer un mois au soleil, au lieu de rester enfermer dans le manoir familial ? allongée sur une des chaises longues, je me laisse dorer au soleil. je profite des rayons avec bonheur quand soudain, quelqu'un se met en face du soleil, me fesant de l'ombre. je plisse les yeux pour voir cette personne qui ose perturber mon bronzage, mais avant de le réprimer, je me reprends à la dernière minute. c'était norman. je ne pouvais quand même pas incendier mon hôte, non ? j'avale donc ma salive, pour me reprendre et je fis un magnifique sourire en me relevant sur mes coudes. wendy n'est pas là ? je demande pour engager la conversation. oui parfois, il m'arrive d'être très agréable et courtoise. je le regarde attentivement. c'est vrai qu'il est vraiment super canon. grand, musclé, blond, un regard de braise, il est à tomber par terre, mais étrangement depuis deux semaines je ne l'ai jamais vus avec une fille. pourtant je suis certaine que toute les filles du village fantasme sur lui, il est tellement beau ! la réincarnation d'appolon lui même. mon regard n'arrive pas à se détacher de son visage absolument parfait. non, elle est partie il y a de ça une heure avec marcus et mes parents... marcus c'est son grand frère et wendy ne cache pas son attirance à son égard. vous imaginez norman en plus âgé ...nous ne sommes qu'à deux. oulala, nous ne sommes qu'à deux ? une phrase pleine de sous-entendus. que dois-je comprendre ? nous ne sommes qu'à deux, donc nous pourrions en profiter et monter directement dans ma chambre ? ou alors nous ne sommes qu'à deux donc pas de bétises et ne rêves pas trop ma fille ? j'opterai plus pour la première idée. c'est vrai, il faut pas tourner autours de la cheminée, je suis vraiment séduisante, ce n'est pas un scoop et vous n'allez pas me dire le contraire. je sais ce que je vaux et quel effet je fais aux hommes. et puis, ça ne me déplairait pas de faire un petit tour de manège avec lui, si vous voyez ce que je veux dire. je me relève de ma chaise longue et me mets près de lui. j'avançe encore un peu jusqu'à ce que nos corps se touchent et je laisse ma main s'égarer dans ses cheveux. et bien dans ce cas, tu pourrais... me faire visiter le reste de la maison... lui dis-je d'un ton assez éloquent. plus petite que lui, il est obligé de baisser le regard pour me regarder droit dans les yeux. il posa une main sur ma nuque et l'autre sur ma hanche, puis déposa un doux baiser sur mes lèvres. alors que nos langues se rencontraient et que la passion montait graduellement, il mit fin à ce début d'ébat. surprise, je pensais d'abord qu'il devait être troublé ou quelque chose comme ça, mais il se recula et s'éloigna de moi. je suis désolé... je ne peux pas... il n'a pas le temps de finir sa phrase que je le coupais, contrariée. t'es gay ou quoi ? je suis énervée c'est vrai, mais vexée aussi. aucun homme ne m'a jamais dit non ou alors repoussé. je pris ma serviette sous le bras et je cours jusqu'à ma chambre sans me retourner. plus tard, j'apprendrai que norman était en fin de compte un véritable gentleman, qui ne pouvait pas coucher avec moi parce que depuis plusieurs il était tombé amoureux de moi. et il ne voulait pas tout gâcher comme ça, par une simple pulsion. mais ça je ne l'ai sû que bieeeeeeeeeeeeeeeen plus tard.

TROISIEME ANECDOTE – i don't wanna be told to grow up and (...) i just wanna have fun. ♪

and now i've been gone for so long, i can't remember who was wrong, all innocence is long gone. ♪ zbaaaaaam. je claque la porte derrière moi. mes cheveux sont en bataille, ma machoire se tord de rage. je suis f-u-r-i-e-u-s-e. si j'étais violente, je lui aurai bien envoyer une droite. mais pour qui se prenait-il, pour big brother ? je l'entends dans mon dos. il essaie de me rattraper, ce qui fait redoubler ma colère. je sens la pression de sa main sur mon bras. il me retient, si bien qu'il me force à me tourner vers lui. tu cours vite avec tes petites jambes, j'ai eu du mal à... il s'arrête soudain en voyant mon expression qui ne se déride pas. il essaie de faire de l'humour, mais avec le regard noir que je lui lance, il va devoir trouver mieux. tu m'en veux ? dit-il vraiment peiné. si je lui en veux ? mais pas du tout voyons ! j'ai adoré qu'il fasse foiré mon plan de séduction avec phoenix. j'ai aussi adoré quand il s'est incrusté entre nous. qu'est-ce qu'il pouvait être bête quand il s'y mettait. mais je ne faisais que veiller sur toi... dit-il en faisant encore une fois son chien battus. je déteste quand il fait ça. ma colère et ma rage descendent d'un cran, ce qu'il semble sentir. merci, mais ça ne sert à rien je sais ce que je fais, mannie ! dis-je en me rapprochant de lui. une affection toute particulière me lie à ce beau jeune homme qui après mon voyage dans sa maison en Grèce est devenu mon meilleur ami....ou peut-être même plus que ça. mais je sais très bien mettre ces sentiments de côté, car je me sais trop instable et volage pour créer une véritable relation avec un garçon. je l'ai vu te tourner autours et je ne voudrai pas que les gens pensent que tu es une... il s'interrompit. une quoi ? une fille facile, une nympho ?! oui et alors ? je fais ce que je veux avec mon corps, merde ! et puis pour ton information c'était moi qui lui tournait autours et par l'inverse ! i miss all the little things i never thought that they’d mean everything to me. ♪ je me retourne dans l'idée de m'enfuir une fois pour toute vers mon dortoir. malheureusement, j'oublie que sa main est encore sur mon bras et une fois de plus, il m'empêche de m'en aller. ce n'est pas ce que j'ai voulu dire, aria... je me fais juste du soucis pour toi. tu fumes, tu bois, tu te drogues parfois et tu couches avec n'importe qui. tu es sur une mauvaise pente, j'essaie juste de te t'aider. oh non, ne te braques pas, je ne suis pas ton ennemi, je t'en prie... notre conversation a attiré l'attention de quelques élèves et ça me gêne. j'ai envie de m'enfuir. je vois cette peine dans son regard, je sens qu'il est déçu. il est mon plus fidèle ami dans l'établissement et je le sens de plus en plus s'éloigner chaque jour. arrêtes de te prendre pour le preux chevalier qui s'en va sauver la demoiselle en détresse... cette fois la main de norman me lâche et je me retourne sans lui donner un seul regard. je sens son regard dans mon dos et je sens aussi les larmes me montaient aux yeux. j'accélère le pas avant de fondre en larme dans un coin de la salle commune de ma maison.

c'est sur que toi adonis c'est pas vitesse éclair. c'est train à vapeur ou marche à pied tout est en règle. une belle fiche. je te valide.


bienvenue à gryffondor
Choix difficile. Tu es très compliquée. Petite peste, tes caprices sont les vestiges d'une enfance où tu as été trop gâtée. Tu es quelqu'un de très fière qui cache ses sentiments. D'apparence fille forte, tu fais ta rebelle indisciplinée, se moquant des règlement et en cherchant à faire tes preuves. Tu as un fort caractère et il ne faut mieux pas se frotter à toi, car ton impulsivité n'est plus à démontrée. Pourtant, quand ce sont des gens qui comptent vraiment pour toi tu es plus touchée que tu ne le montres. Mais ton orgueil et ta volonté de garder une image de femme forte t'empêches de pleurer devant les autres. Ais plus confiance en tes amis. Car tu sais t'amuser et rigoler. Tu collectionnes les hommes pour montrer que tu ne t'attache pas sur le plan émotionnel. Bienvenue chez les rouges et or.

te voilà validée tu peux dès maintenant faire ta fiche de lien et de rp. demander plein de lien, flooder, participer aux concours et intrigues. l'équipe de quidditch de ta maison attends ses stars. amuse toi bien. et ne fais pas tomber tous les hommes de Poudlard à tes pieds.

j'ai une demande par rapport aux musiques que tu as mis dans ta fiche. je suis fan de la première. (celle au dessus de your magic real), celle de la première anecdote et celle de la dernière. c'est quoi les titres et artiste ?! merci d'avance.